Bibliothèque du Centre de Prévention du Suicide
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Titre : Le travail à coeur. Pour en finir avec les risques psychosociaux Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves CLOT, Auteur Editeur : La Découverte Année de publication : 2010 Importance : 190 p Note générale : Suicides en série sur le lieu de travail, « épidémie » de troubles musculo-squelettiques, explosion des pathologies professionnelles... Une réalité trop longtemps occultée occupe désormais la scène publique française. Devant l'ampleur des « maladies du travail », tout est secoué : entreprises, État, institutions, chercheurs et experts. Et, face aux dégâts engendrés, se multiplient dans l'urgence les fausses solutions qui risquent de virer au « despotisme compassionnel » sans rien résoudre sur le fond. C'est à ce paradoxe intenable qu'a voulu réagir le psychologue du travail Yves Clot dans cet essai, nourri de longues années d'expérience sur le terrain des rapports entre santé et travail. Il instruit le dossier en rassemblant les différentes pièces du puzzle social : discours officiels, analyses de situations concrètes, controverses scientifiques, commentaires et récits. Il montre comment la négation des conflits autour de la qualité du travail au sein de l'entreprise menace le collectif et empoisonne la vie des organisations. Pour Yves Clot, le plaisir du « travail bien fait » est la meilleure prévention contre le « stress » : il n'y a pas de « bien-être » sans « bien faire ». En se mobilisant autour d'une idée neuve du métier, avec tous les autres acteurs concernés - dirigeants d'entreprises, syndicalistes et spécialistes -, ceux qui, au travail, sont en première ligne peuvent eux-mêmes « retourner » la situation. Pour en finir, enfin, avec les « risques psychosociaux ». Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Le travail à coeur. Pour en finir avec les risques psychosociaux [texte imprimé] / Yves CLOT, Auteur . - [S.l.] : La Découverte, 2010 . - 190 p.
Suicides en série sur le lieu de travail, « épidémie » de troubles musculo-squelettiques, explosion des pathologies professionnelles... Une réalité trop longtemps occultée occupe désormais la scène publique française. Devant l'ampleur des « maladies du travail », tout est secoué : entreprises, État, institutions, chercheurs et experts. Et, face aux dégâts engendrés, se multiplient dans l'urgence les fausses solutions qui risquent de virer au « despotisme compassionnel » sans rien résoudre sur le fond. C'est à ce paradoxe intenable qu'a voulu réagir le psychologue du travail Yves Clot dans cet essai, nourri de longues années d'expérience sur le terrain des rapports entre santé et travail. Il instruit le dossier en rassemblant les différentes pièces du puzzle social : discours officiels, analyses de situations concrètes, controverses scientifiques, commentaires et récits. Il montre comment la négation des conflits autour de la qualité du travail au sein de l'entreprise menace le collectif et empoisonne la vie des organisations. Pour Yves Clot, le plaisir du « travail bien fait » est la meilleure prévention contre le « stress » : il n'y a pas de « bien-être » sans « bien faire ». En se mobilisant autour d'une idée neuve du métier, avec tous les autres acteurs concernés - dirigeants d'entreprises, syndicalistes et spécialistes -, ceux qui, au travail, sont en première ligne peuvent eux-mêmes « retourner » la situation. Pour en finir, enfin, avec les « risques psychosociaux ».
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Catégories : DEQ travail Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21156 CES CLO Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre de série : Travail et emploi, 129 Titre : Travail et santé mentale : approches cliniques Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale MOLINIER, Auteur ; Anne FLOTTES, Auteur Année de publication : 2012 Importance : 51-66 Note générale : Cet article est consacré aux approches cliniques du travail en France telles qu’elles se sont développées depuis les années 1950. Il aborde succinctement les premières recherches en psychopathologie du travail, puis quelques concepts clés en psychodynamique du travail et en clinique de l’activité. Il passe ensuite en revue les différentes formes de psychopathologies liées au travail dans la littérature récente (depuis 2000). Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Travail et emploi, 129. Travail et santé mentale : approches cliniques [texte imprimé] / Pascale MOLINIER, Auteur ; Anne FLOTTES, Auteur . - 2012 . - 51-66.
Cet article est consacré aux approches cliniques du travail en France telles qu’elles se sont développées depuis les années 1950. Il aborde succinctement les premières recherches en psychopathologie du travail, puis quelques concepts clés en psychodynamique du travail et en clinique de l’activité. Il passe ensuite en revue les différentes formes de psychopathologies liées au travail dans la littérature récente (depuis 2000).
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21229 ART.NUM 10154 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible Le travail humain, 4; vol. 74. Contre les risques psychosociaux, quel débat sur l'activité ? / P. SARNIN
Titre de série : Le travail humain, 4; vol. 74 Titre : Contre les risques psychosociaux, quel débat sur l'activité ? Type de document : texte imprimé Auteurs : P. SARNIN, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 309-320 Langues : Français (fre) Catégories : PSYCHOLOGIE:TRAVAIL
SOCIOLOGIE :TRAVAIL
SUICIDE:CAUSE:travail
TENTATIVE:CAUSE:travail
DEQ travailLe travail humain, 4; vol. 74. Contre les risques psychosociaux, quel débat sur l'activité ? [texte imprimé] / P. SARNIN, Auteur . - 2011 . - 309-320.
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Catégories : PSYCHOLOGIE:TRAVAIL
SOCIOLOGIE :TRAVAIL
SUICIDE:CAUSE:travail
TENTATIVE:CAUSE:travail
DEQ travailExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20879 ART.NUM 10068 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre : Travail : la parole aux "suicidants" Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie-Odile CAGNAC, Auteur Editeur : Edilivre Année de publication : 2017 Importance : 208 p Note générale : Parce que le suicide est un acte personnel, que les suicidés n’ont plus de voix, que les chercheurs ont des postures cliniques et des opinions divergentes, la pensée suicidaire liée au travail est un sujet à la fois sensible et complexe – notamment parce que l’imputabilité au travail est difficile à établir. Par un questionnement progressif, nous tenterons de comprendre ce qui peut amener un salarié à devenir un « suicidant » au travail, c’est-à-dire une personne ayant pensé au suicide, ou tenté de mettre fin à ses jours, en raison de son contexte professionnel. Que se passe-t-il dans cet interstice : entre la pensée et l’acte ? Nous verrons qu’en France le travail demeure pour la majorité des personnes un socle existentiel. Néanmoins, exerce-t-il encore un rôle de protection ? Quelles sont les principales transformations survenues depuis les années 70-80 et la décennie 2000 – dates des « vagues » de suicides médiatisés, dans des grandes entreprises françaises ? Même si la souffrance physique demeure et que la souffrance psychique est en augmentation, il apparaît qu’elles n’entraînent pas nécessairement des pensées suicidaires et des suicides. Alors, qui sont ces « suicidants » au travail et comment le deviennent-ils ? Quelles seraient les pistes de réflexion en matière de prévention ? Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Travail : la parole aux "suicidants" [texte imprimé] / Marie-Odile CAGNAC, Auteur . - [S.l.] : Edilivre, 2017 . - 208 p.
Parce que le suicide est un acte personnel, que les suicidés n’ont plus de voix, que les chercheurs ont des postures cliniques et des opinions divergentes, la pensée suicidaire liée au travail est un sujet à la fois sensible et complexe – notamment parce que l’imputabilité au travail est difficile à établir. Par un questionnement progressif, nous tenterons de comprendre ce qui peut amener un salarié à devenir un « suicidant » au travail, c’est-à-dire une personne ayant pensé au suicide, ou tenté de mettre fin à ses jours, en raison de son contexte professionnel. Que se passe-t-il dans cet interstice : entre la pensée et l’acte ? Nous verrons qu’en France le travail demeure pour la majorité des personnes un socle existentiel. Néanmoins, exerce-t-il encore un rôle de protection ? Quelles sont les principales transformations survenues depuis les années 70-80 et la décennie 2000 – dates des « vagues » de suicides médiatisés, dans des grandes entreprises françaises ? Même si la souffrance physique demeure et que la souffrance psychique est en augmentation, il apparaît qu’elles n’entraînent pas nécessairement des pensées suicidaires et des suicides. Alors, qui sont ces « suicidants » au travail et comment le deviennent-ils ? Quelles seraient les pistes de réflexion en matière de prévention ?
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21610 CES CAG Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre : Le travail peut-il devenir supportable ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves CLOT, Auteur ; Michel GOLLAC, Auteur Editeur : Armand Colin Année de publication : 2014 Importance : 239 p Note générale : Le travail demeure une source de plaisir pour certains. Mais, pour trop d’entre nous, il est devenu difficile à supporter. Pour la plupart des travailleurs, il est en tout cas un souci dont aucune condition sociale, aucune position hiérarchique, aucun statut ne mettent complètement à l’abri. Et cela, particulièrement en France.
Faut-il alors transformer les travailleurs ? Peut-on concevoir des organisations salubres ? Peut-on aller vers une performance compatible avec la qualité du travail ? Vers des produits et des façons de produire moins toxiques pour la santé publique ? La santé au travail peut-elle être octroyée ou les travailleurs doivent-ils avoir les moyens de la construire ? Yves Clot, psychologue du travail, et Michel Gollac, sociologue, confrontent leurs conceptions et celles de leurs disciplines. Leur débat débouche sur une conviction : non seulement le travail peut devenir supportable mais il peut être l’une des sources d’une vitalité retrouvée, d’autres façons d’être soi-même et de vivre ensemble. Une nouvelle liberté est possible si l’entreprise s’ouvre à la démocratie.
Langues : Français (fre) Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
DEQ travailNote de contenu : acq novembre 2014 Le travail peut-il devenir supportable ? [texte imprimé] / Yves CLOT, Auteur ; Michel GOLLAC, Auteur . - [S.l.] : Armand Colin, 2014 . - 239 p.
Le travail demeure une source de plaisir pour certains. Mais, pour trop d’entre nous, il est devenu difficile à supporter. Pour la plupart des travailleurs, il est en tout cas un souci dont aucune condition sociale, aucune position hiérarchique, aucun statut ne mettent complètement à l’abri. Et cela, particulièrement en France.
Faut-il alors transformer les travailleurs ? Peut-on concevoir des organisations salubres ? Peut-on aller vers une performance compatible avec la qualité du travail ? Vers des produits et des façons de produire moins toxiques pour la santé publique ? La santé au travail peut-elle être octroyée ou les travailleurs doivent-ils avoir les moyens de la construire ? Yves Clot, psychologue du travail, et Michel Gollac, sociologue, confrontent leurs conceptions et celles de leurs disciplines. Leur débat débouche sur une conviction : non seulement le travail peut devenir supportable mais il peut être l’une des sources d’une vitalité retrouvée, d’autres façons d’être soi-même et de vivre ensemble. Une nouvelle liberté est possible si l’entreprise s’ouvre à la démocratie.
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DEQ travailNote de contenu : acq novembre 2014 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21216 CES CLO Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre : Le travail à porter de main. Dialogue Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascal CHABOT, Auteur ; Matthew CRAWFORD, Auteur ; Philippe NASSIF, Traducteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 38-41 Note générale : L’un a décrypté le phénomène du burn-out, l’autre veut réhabiliter la figure de l’artisan. Dialogue entre Pascal Chabot et Matthew Crawford Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail
in Philosophie Magazine > 74 (novembre 2013) . - 38-41[article] Le travail à porter de main. Dialogue [texte imprimé] / Pascal CHABOT, Auteur ; Matthew CRAWFORD, Auteur ; Philippe NASSIF, Traducteur . - 2013 . - 38-41.
L’un a décrypté le phénomène du burn-out, l’autre veut réhabiliter la figure de l’artisan. Dialogue entre Pascal Chabot et Matthew Crawford
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in Philosophie Magazine > 74 (novembre 2013) . - 38-41
Catégories : DEQ travail
Titre : Travail et pouvoir d'agir Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves CLOT, Auteur Editeur : Presses universitaires de France Année de publication : 2008 Importance : 296 p Note générale : Le travail soumet les femmes et les hommes à des épreuves sociales dont l'issue pèsera lourd sur le destin des générations futures. Dans ce nouvel ouvrage, l'auteur s'interroge : la psychologie du travail, en tant que discipline, saura-t-elle seconder l'action individuelle et collective nécessaire pour y faire face ? Pour répondre à cette question, Y. Clot fait l'inventaire des ressources historiques, théoriques, méthodologiques et techniques dont la psychologie du travail dispose pour développer le pouvoir d'agir des sujets sur leurs milieux professionnels. Dans cet ouvrage, l'exercice d'une clinique de l'activité débouche sur un renouvellement de l'idée de métier. Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Note de contenu : acq aout 2015 Travail et pouvoir d'agir [texte imprimé] / Yves CLOT, Auteur . - [S.l.] : Presses universitaires de France, 2008 . - 296 p.
Le travail soumet les femmes et les hommes à des épreuves sociales dont l'issue pèsera lourd sur le destin des générations futures. Dans ce nouvel ouvrage, l'auteur s'interroge : la psychologie du travail, en tant que discipline, saura-t-elle seconder l'action individuelle et collective nécessaire pour y faire face ? Pour répondre à cette question, Y. Clot fait l'inventaire des ressources historiques, théoriques, méthodologiques et techniques dont la psychologie du travail dispose pour développer le pouvoir d'agir des sujets sur leurs milieux professionnels. Dans cet ouvrage, l'exercice d'une clinique de l'activité débouche sur un renouvellement de l'idée de métier.
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Catégories : DEQ travail Note de contenu : acq aout 2015 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21297 CES CLO Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre de série : Travailler, 26 Titre : Stress et suicides liés au travail au sein de l'institution militaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Céline BRYON-PORTET, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 87-110 Note générale : Le personnel de l’institution militaire connaît une augmentation du stress lié au travail, du nombre de dépressions et de conduites autoagressives, exprimant un malaise de natures psychologique et sociologique. Ce constat a motivé une réflexion qui se fonde sur une expérience personnelle (l’auteur a été officier de carrière pendant sept ans), complétée par des enquêtes (entretiens, audits, sondages). Soucieuse de proposer des mesures préventives ou curatives, nous nous sommes efforcée d’en dégager les causes et d’en préciser les différents aspects, tout en comparant la situation évolutive des armées à celle de la société civile. Ce faisant, nous avons été amenée à nous interroger sur la validité actuelle de la théorie durkheimienne du suicide. SOURCE : revue Travailler
Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Travailler, 26. Stress et suicides liés au travail au sein de l'institution militaire [texte imprimé] / Céline BRYON-PORTET, Auteur . - 2011 . - 87-110.
Le personnel de l’institution militaire connaît une augmentation du stress lié au travail, du nombre de dépressions et de conduites autoagressives, exprimant un malaise de natures psychologique et sociologique. Ce constat a motivé une réflexion qui se fonde sur une expérience personnelle (l’auteur a été officier de carrière pendant sept ans), complétée par des enquêtes (entretiens, audits, sondages). Soucieuse de proposer des mesures préventives ou curatives, nous nous sommes efforcée d’en dégager les causes et d’en préciser les différents aspects, tout en comparant la situation évolutive des armées à celle de la société civile. Ce faisant, nous avons été amenée à nous interroger sur la validité actuelle de la théorie durkheimienne du suicide. SOURCE : revue Travailler
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Catégories : DEQ travail Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20990 ART.NUM 10096 Livre Etagères de la bibliothèque Actes Indéterminé avant inventaire Exclu du prêt
Titre : Travailler à armes égales. souffrance au travail : comment réagir Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Pezé, Auteur ; R. SAADA, Auteur ; Nicolas SANDRET, Auteur Editeur : Pearson Année de publication : 2011 Importance : 223 p Note générale : Après Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés, qui dressait un état des lieux de la souffrance au travail et pointait la gravité croissantedes cas, Marie Pezé poursuit ici sa réflexion sous un angle qui se veut positif : comment réagir ? « Si le travail peut faire souffrir, c'est avant tout parce qu'il est porteur de nombreuses promesses », dit-elle. Promesse de l’utilisation et du développement des capacités physiques et mentales, promesse d’accomplissement de soi et d’émancipation sociale, promesse du « vivre ensemble » et du dépassement des fragilités infantiles… Celui qui travaille donne souvent sans compter à un monde du travail qui, lui, ne fait que compter. Investi corps et âme, il a du mal à prendre de la distance, à défendre ses droits, à trouver des appuis. Le rapport de forces est inégal entre la partie faible, le salarié, et la partie forte, l’entreprise. Marie Pezé nous livre ici les outils élaborés par le réseau de prise en charge de la souffrance au travail, avec Rachel Saada, avocate spécialiste en droit social et Nicolas Sandret, médecin inspecteur du travail : mieux connaître le droit du travail et les implications d’un contrat, savoir reconnaître et dénoncer les techniques de management pathogènes, apprendre à décrire son travail et les raisons de sa dégradation, connaître les acteurs de prévention dans et hors de l’entreprise et le rôle qu’ils peuvent jouer… Ce livre est une arme pour sortir de la solitude et renouer avec les promesses du travail. SOURCE : http://www.pearson.fr/livre/?GCOI=27440100950120
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DEQ travailNote de contenu : acq mai 2012 Travailler à armes égales. souffrance au travail : comment réagir [texte imprimé] / Marie Pezé, Auteur ; R. SAADA, Auteur ; Nicolas SANDRET, Auteur . - [S.l.] : Pearson, 2011 . - 223 p.
Après Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés, qui dressait un état des lieux de la souffrance au travail et pointait la gravité croissantedes cas, Marie Pezé poursuit ici sa réflexion sous un angle qui se veut positif : comment réagir ? « Si le travail peut faire souffrir, c'est avant tout parce qu'il est porteur de nombreuses promesses », dit-elle. Promesse de l’utilisation et du développement des capacités physiques et mentales, promesse d’accomplissement de soi et d’émancipation sociale, promesse du « vivre ensemble » et du dépassement des fragilités infantiles… Celui qui travaille donne souvent sans compter à un monde du travail qui, lui, ne fait que compter. Investi corps et âme, il a du mal à prendre de la distance, à défendre ses droits, à trouver des appuis. Le rapport de forces est inégal entre la partie faible, le salarié, et la partie forte, l’entreprise. Marie Pezé nous livre ici les outils élaborés par le réseau de prise en charge de la souffrance au travail, avec Rachel Saada, avocate spécialiste en droit social et Nicolas Sandret, médecin inspecteur du travail : mieux connaître le droit du travail et les implications d’un contrat, savoir reconnaître et dénoncer les techniques de management pathogènes, apprendre à décrire son travail et les raisons de sa dégradation, connaître les acteurs de prévention dans et hors de l’entreprise et le rôle qu’ils peuvent jouer… Ce livre est une arme pour sortir de la solitude et renouer avec les promesses du travail. SOURCE : http://www.pearson.fr/livre/?GCOI=27440100950120
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DEQ travailNote de contenu : acq mai 2012 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20929 CES PEZ Livre Etagères de la bibliothèque Prévention, généralités Inventorié Disponible
Titre de série : Travailler, n° 13 Titre : De la condition de bonne à tout faire au début du XXème siècle à la relation de service dans le monde contemporain : analyse clinique et psychopathologique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pascale MOLINIER, Auteur Année de publication : 2005 Importance : 7-33 Note générale : L’auteure retrace différentes étapes dans la recherche en psychopathologie et en psychodynamique du travail à propos des activités de service. La première étape est celle qui, dans les années 1950, oppose à une interprétation psychanalytique du motif paranoïaque du crime des sœurs Papin, par Jacques Lacan, une interprétation en termes de condition (de bonne à tout faire), par Louis le Guillant. La deuxième étape est l’introduction de la dimension des rapports sociaux de sexe et de race et, corollaire méthodologique, de l’épistémologie des savoirs situés. La troisième étape est la discussion avec le courant sociologique des émotions dans le travail (emotion work) et sa théorie de la marchandisation des sentiments. Une étape supplémentaire est la prise en compte des façons dont l’amour et la haine sont sollicités dans le travail de service, et en particulier dans le travail domestique. Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Travailler, n° 13. De la condition de bonne à tout faire au début du XXème siècle à la relation de service dans le monde contemporain : analyse clinique et psychopathologique [texte imprimé] / Pascale MOLINIER, Auteur . - 2005 . - 7-33.
L’auteure retrace différentes étapes dans la recherche en psychopathologie et en psychodynamique du travail à propos des activités de service. La première étape est celle qui, dans les années 1950, oppose à une interprétation psychanalytique du motif paranoïaque du crime des sœurs Papin, par Jacques Lacan, une interprétation en termes de condition (de bonne à tout faire), par Louis le Guillant. La deuxième étape est l’introduction de la dimension des rapports sociaux de sexe et de race et, corollaire méthodologique, de l’épistémologie des savoirs situés. La troisième étape est la discussion avec le courant sociologique des émotions dans le travail (emotion work) et sa théorie de la marchandisation des sentiments. Une étape supplémentaire est la prise en compte des façons dont l’amour et la haine sont sollicités dans le travail de service, et en particulier dans le travail domestique.
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Catégories : DEQ travail Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21231 ART.NUM 10155 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre de série : Travailler, n° 13 Titre : Le déni de l'évaluation Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas PERILLEUX, Auteur Année de publication : 2005 Importance : 113-134 Note générale : L’évaluation du travail est un impératif gestionnaire, et une nécessité dans la visée d’une juste reconnaissance. Mais, pour ses destinataires, c’est l’expérience du déni qui risque de prévaloir. Certaines méthodes d’évaluation empêchent de reconnaître le travail vivant en l’écrasant sous des mesures « indiscutables » et « exhaustives ». C’est alors le sens du travail qui est atteint ; il devient impossible de considérer le trajet effectué à travers les épreuves de l’activité. L’article analyse les formes d’un tel déni, depuis la méconnaissance des dimensions plurielles de l’activité jusqu’au refus de reconnaître la vie engagée dans le travail. Il s’interroge sur les possibilités de briser le déni et le silence auquel il conduit, à travers la mise en récit et la constitution de traces relatives à l’expérience de travail.
Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Travailler, n° 13. Le déni de l'évaluation [texte imprimé] / Thomas PERILLEUX, Auteur . - 2005 . - 113-134.
L’évaluation du travail est un impératif gestionnaire, et une nécessité dans la visée d’une juste reconnaissance. Mais, pour ses destinataires, c’est l’expérience du déni qui risque de prévaloir. Certaines méthodes d’évaluation empêchent de reconnaître le travail vivant en l’écrasant sous des mesures « indiscutables » et « exhaustives ». C’est alors le sens du travail qui est atteint ; il devient impossible de considérer le trajet effectué à travers les épreuves de l’activité. L’article analyse les formes d’un tel déni, depuis la méconnaissance des dimensions plurielles de l’activité jusqu’au refus de reconnaître la vie engagée dans le travail. Il s’interroge sur les possibilités de briser le déni et le silence auquel il conduit, à travers la mise en récit et la constitution de traces relatives à l’expérience de travail.
Langues : Français (fre)
Catégories : DEQ travail Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21332 ART.NUM 10183 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre de série : Travailler, n° 9 Titre : L'émotion prescrite au travail Type de document : texte imprimé Auteurs : Aurélie JEANTET, Auteur Année de publication : 2003 Importance : 99-112 Note générale : Tout à la fois objets, outils, produits et acteurs, les émotions offrent des perspectives de recherche riches et diversifiées, notamment en sociologie du travail. Les émotions prescrites au travail, en particulier dans les services, poussent les individus à mobiliser les ressources organisationnelles et les collectifs de travail afin d’inventer des façons de contourner la règle et de travailler en cohérence avec leur conception du travail et en résonance avec leur parcours. Qu’une marge de manœuvre existe ou non, la prescription des émotions ne laisse pas indemne ni l’individu ni la structure sociale. Langues : Français (fre) Catégories : DEQ travail Note de contenu :
Tout à la fois objets, outils, produits et acteurs, les émotions offrent des perspectives de recherche riches et diversifiées, notamment en sociologie du travail. Les émotions prescrites au travail, en particulier dans les services, poussent les individus à mobiliser les ressources organisationnelles et les collectifs de travail afin d’inventer des façons de contourner la règle et de travailler en cohérence avec leur conception du travail et en résonance avec leur parcours. Qu’une marge de manœuvre existe ou non, la prescription des émotions ne laisse pas indemne ni l’individu ni la structure sociale.
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Catégories : DEQ travail Note de contenu : Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21307 ART.NUM 10169 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible
Titre : Vaincre l'épuisement professionnel. Toutes les clés pour comprendre le burn out Type de document : texte imprimé Auteurs : Suzanne PETERS, Auteur ; Patrick MESTERS, Auteur Editeur : Laffont Année de publication : 2007 Collection : Réponses Importance : 251 p Langues : Français (fre) Catégories : PSYCHOLOGIE:TRAVAIL
DEQ travailVaincre l'épuisement professionnel. Toutes les clés pour comprendre le burn out [texte imprimé] / Suzanne PETERS, Auteur ; Patrick MESTERS, Auteur . - [S.l.] : Laffont, 2007 . - 251 p. - (Réponses) .
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Catégories : PSYCHOLOGIE:TRAVAIL
DEQ travailExemplaires (2)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20154 PSY PET Livre Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible 21137 PSY PET Livre Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre : Violence des échanges en milieu tempéré Type de document : document projeté ou vidéo Auteurs : Jean-Marc MOUTOUT, Metteur en scène, réalisateur Année de publication : 2003 Importance : 99 min Note générale : A 25 ans, Philippe arrive de province pour intégrer à Paris un grand cabinet de consultants en entreprise. Le matin de son premier jour de travail, il rencontre Eva, jeune mère célibataire dont il s'éprend. Sa première mission, qu'il aborde avec enthousiasme, est de préparer le rachat encore confidentiel d'une usine par un grand groupe. Ses premiers rapports sont convaincants. Il gagne la confiance de son chef qui lui confie une nouvelle responsabilité : sélectionner le personnel apte à travailler dans la nouvelle organisation de l'entreprise. Dès lors, Philippe doit se convaincre et convaincre Eva du bien fondé de sa tâche et faire face aux hommes et aux femmes dont il prépare le licenciement. Langues : Français (fre) Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
DEQ travailNote de contenu : acq septembre 2014 Violence des échanges en milieu tempéré [document projeté ou vidéo] / Jean-Marc MOUTOUT, Metteur en scène, réalisateur . - 2003 . - 99 min.
A 25 ans, Philippe arrive de province pour intégrer à Paris un grand cabinet de consultants en entreprise. Le matin de son premier jour de travail, il rencontre Eva, jeune mère célibataire dont il s'éprend. Sa première mission, qu'il aborde avec enthousiasme, est de préparer le rachat encore confidentiel d'une usine par un grand groupe. Ses premiers rapports sont convaincants. Il gagne la confiance de son chef qui lui confie une nouvelle responsabilité : sélectionner le personnel apte à travailler dans la nouvelle organisation de l'entreprise. Dès lors, Philippe doit se convaincre et convaincre Eva du bien fondé de sa tâche et faire face aux hommes et aux femmes dont il prépare le licenciement.
Langues : Français (fre)
Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
DEQ travailNote de contenu : acq septembre 2014 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21202 F-DVD 1027 DVD Etagères de la bibliothèque DVD Fiction Inventorié Disponible Votre travail a-t-il encore un sens ? in Philosophie Magazine, 68 (avril 2013)
Titre : Votre travail a-t-il encore un sens ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2013 Article en page(s) : 42-65 Note générale : Le burn-out est-il le nouveau mal du siècle ? Entre les accès de dépression spectaculaires de certains des travailleurs les plus acharnés et la montée du chômage, le monde professionnel est plus que jamais frappé d’incertitude. Comment s’y retrouver? Traditionnellement, le travail représentait pour Aristote, Marx ou Arendt le moyen de se construire soi-même en façonnant le monde. Bref, de réaliser la condition humaine. Mais lorsque nos œuvres sont éphémères, instables, lorsque nous travaillons sur des flux d’informations et non sur des objets concrets et palpables, nous avons l’impression que le monde que créent nos mains et nos cerveaux se liquéfie, disparaît. Ne percevant plus la finalité de notre activité, nous nous sentons désorientés. S’ils dressent un constat sans concession, les philosophes, sociologues et psychanalystes interrogés dans ce dossier proposent de revaloriser le savoir-faire de l’artisan face à la dictature du process, de réhabiliter le « bel ouvrage » plutôt que l’évaluation des performances individuelles et d’admettre que tout travail comporte une part irréductible de souffrance. SOURCE : http://www.philomag.com Langues : Français (fre) Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
DEQ travailNote de contenu : acq avril 2013
in Philosophie Magazine > 68 (avril 2013) . - 42-65[article] Votre travail a-t-il encore un sens ? [texte imprimé] . - 2013 . - 42-65.
Le burn-out est-il le nouveau mal du siècle ? Entre les accès de dépression spectaculaires de certains des travailleurs les plus acharnés et la montée du chômage, le monde professionnel est plus que jamais frappé d’incertitude. Comment s’y retrouver? Traditionnellement, le travail représentait pour Aristote, Marx ou Arendt le moyen de se construire soi-même en façonnant le monde. Bref, de réaliser la condition humaine. Mais lorsque nos œuvres sont éphémères, instables, lorsque nous travaillons sur des flux d’informations et non sur des objets concrets et palpables, nous avons l’impression que le monde que créent nos mains et nos cerveaux se liquéfie, disparaît. Ne percevant plus la finalité de notre activité, nous nous sentons désorientés. S’ils dressent un constat sans concession, les philosophes, sociologues et psychanalystes interrogés dans ce dossier proposent de revaloriser le savoir-faire de l’artisan face à la dictature du process, de réhabiliter le « bel ouvrage » plutôt que l’évaluation des performances individuelles et d’admettre que tout travail comporte une part irréductible de souffrance. SOURCE : http://www.philomag.com
Langues : Français (fre)
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Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
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