Bibliothèque du Centre de Prévention du Suicide
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Thérapie Familiale |
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Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheThérapie Familiale, 2/02. Tentative de suicide, manipulation du contexte et dialectique du déni en thérapie familiale systémique / C. GUITTON-COHEN ADAD
Titre de série : Thérapie Familiale, 2/02 Titre : Tentative de suicide, manipulation du contexte et dialectique du déni en thérapie familiale systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : C. GUITTON-COHEN ADAD, Auteur Année de publication : 1981 Importance : pp. 155-171 Note générale : - Langues : Français (fre) Catégories : TENTATIVE:THERAPIES Thérapie Familiale, 2/02. Tentative de suicide, manipulation du contexte et dialectique du déni en thérapie familiale systémique [texte imprimé] / C. GUITTON-COHEN ADAD, Auteur . - 1981 . - pp. 155-171.
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Langues : Français (fre)
Catégories : TENTATIVE:THERAPIES Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 1346 ART.ALPHA Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Revues Indéterminé avant inventaire Exclu du prêt
Titre de série : Thérapie Familiale, 2 - vol. 22 Titre : L'exclusion est une maltraitance. Clinique des adolescents difficiles Type de document : texte imprimé Auteurs : Roland COENEN, Auteur Année de publication : 2001 Importance : p. 121-132 Note générale : Le présent article vise à démontrer que l’exclusion d’une institution de placement ou de traitement est une maltraitance. Qu’elle soit exercée sous la forme d’un renvoi disciplinaire, d’une fin de contrat non renouvelé, ou d’une demande de sanction adressée au juge ou au conseiller d’aide à la jeunesse, l’exclusion est toujours destructrice. Cherchant à analyser pourquoi cette forme particulière de rejet existe, le présent exercice tentera également de prouver que le refus du renvoi, de l’exclusion, est par contre un brillant outil thérapeutique à moyen et long terme. Si le renvoi est destructeur, le postulat de non-renvoi, associé à une réflexion active, est, en revanche, créateur. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq février 2016 Thérapie Familiale, 2 - vol. 22. L'exclusion est une maltraitance. Clinique des adolescents difficiles [texte imprimé] / Roland COENEN, Auteur . - 2001 . - p. 121-132.
Le présent article vise à démontrer que l’exclusion d’une institution de placement ou de traitement est une maltraitance. Qu’elle soit exercée sous la forme d’un renvoi disciplinaire, d’une fin de contrat non renouvelé, ou d’une demande de sanction adressée au juge ou au conseiller d’aide à la jeunesse, l’exclusion est toujours destructrice. Cherchant à analyser pourquoi cette forme particulière de rejet existe, le présent exercice tentera également de prouver que le refus du renvoi, de l’exclusion, est par contre un brillant outil thérapeutique à moyen et long terme. Si le renvoi est destructeur, le postulat de non-renvoi, associé à une réflexion active, est, en revanche, créateur.
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Note de contenu : acq février 2016 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21393 ART.NUM 10196 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Population adolescents Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, 3,33 Titre : Introduire un travail systémique au sein d'un service de psychiatrie : un paradoxe ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alain JUHEL, Auteur Année de publication : 2012 Importance : 183-200 Note générale : Dans cet article, nous abordons, au travers d’une lecture structuraliste puis plus narrative, la place des thérapeutes familiaux au sein d’une institution psychiatrique lors de la prise en charge de patients souffrant de troubles graves et plus particulièrement de schizophrénie. Nous y décrirons l’isomorphisme entre des relations familiales et intra-institutionnelles et les questions que soulève l’utilisation du paradoxe par une équipe de systémiciens dans un service de psychiatrie adulte public. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq octobre 2013 Thérapie Familiale, 3,33. Introduire un travail systémique au sein d'un service de psychiatrie : un paradoxe ? [texte imprimé] / Alain JUHEL, Auteur . - 2012 . - 183-200.
Dans cet article, nous abordons, au travers d’une lecture structuraliste puis plus narrative, la place des thérapeutes familiaux au sein d’une institution psychiatrique lors de la prise en charge de patients souffrant de troubles graves et plus particulièrement de schizophrénie. Nous y décrirons l’isomorphisme entre des relations familiales et intra-institutionnelles et les questions que soulève l’utilisation du paradoxe par une équipe de systémiciens dans un service de psychiatrie adulte public.
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Note de contenu : acq octobre 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21112 ART.NUM 10136 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, 3, vol. 27 Titre : La transmission transgénérationnelle des traumatismes et de la souffrance non dite Type de document : texte imprimé Auteurs : Florence CALICIS, Auteur Année de publication : 2006 Importance : 229-242 Note générale : Cet article traite de la transmission transgénérationnelle des traumatismes et de la souffrance. Il tente d’élucider ces mécanismes étonnants de transmission des traumatismes d’une génération à l’autre et de dégager des pistes cliniques pour approcher les souffrances transgénérationnelles engrangées dans le psychisme. Je m’appuierai sur différentes théories et approches cliniques qui m’ont aidée à affiner mon abord de ces situations: – Le modèle de transmission intergénérationnelle des traumatismes d’E. Tilmans (1995). – Le concept de transfert de K. Stettbacher (1991). – Les processus de sélection/amplification et de cristallisation/pathologisation décrits par G. Ausloos (1995). – La clinique du fantôme, de N. Abraham et M. Torok (1978), récemment revisitée par S. Tisseron (2004). – La méconnaissance de la réalité de M. Selvini (1995). A travers des illustrations cliniques, je montrerai que, plus encore que le traumatisme en soi et la souffrance associée, ce sont les secrets, les non-dits, la dissimulation de la réalité et de la souffrance vécue qui sont pathogènes, et tout particulièrement pour la génération qui suit. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq mars 2014 Thérapie Familiale, 3, vol. 27. La transmission transgénérationnelle des traumatismes et de la souffrance non dite [texte imprimé] / Florence CALICIS, Auteur . - 2006 . - 229-242.
Cet article traite de la transmission transgénérationnelle des traumatismes et de la souffrance. Il tente d’élucider ces mécanismes étonnants de transmission des traumatismes d’une génération à l’autre et de dégager des pistes cliniques pour approcher les souffrances transgénérationnelles engrangées dans le psychisme. Je m’appuierai sur différentes théories et approches cliniques qui m’ont aidée à affiner mon abord de ces situations: – Le modèle de transmission intergénérationnelle des traumatismes d’E. Tilmans (1995). – Le concept de transfert de K. Stettbacher (1991). – Les processus de sélection/amplification et de cristallisation/pathologisation décrits par G. Ausloos (1995). – La clinique du fantôme, de N. Abraham et M. Torok (1978), récemment revisitée par S. Tisseron (2004). – La méconnaissance de la réalité de M. Selvini (1995). A travers des illustrations cliniques, je montrerai que, plus encore que le traumatisme en soi et la souffrance associée, ce sont les secrets, les non-dits, la dissimulation de la réalité et de la souffrance vécue qui sont pathogènes, et tout particulièrement pour la génération qui suit.
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Note de contenu : acq mars 2014 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21154 ART.NUM 10146 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, 32,4 Titre : Les contes de fées, un tremplin pour les enfants victimes de sévices ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Louis BEY, Auteur Année de publication : 2011 Importance : 437-455 Note générale : Les contes de fées, un tremplin pour les enfants victimes de sévices ? – Quelle approche thérapeutique de résilience pour les enfants victimes de sévices ? Dix ans après la métaphore « Tchernobyl », cet article étudie, dans le même registre, l’utilisation des contes de fées comme modélisations de nouvelles procédures de résilience par les victimes. SOURCE : revue Thérapie Familiale
Langues : Français (fre) Catégories : Littérature - oeuvres de fiction:Conte
PSYCHOLOGIE:Résilience
THERAPIES:EnfantNote de contenu : acq novembre 202 Thérapie Familiale, 32,4. Les contes de fées, un tremplin pour les enfants victimes de sévices ? [texte imprimé] / Jean-Louis BEY, Auteur . - 2011 . - 437-455.
Les contes de fées, un tremplin pour les enfants victimes de sévices ? – Quelle approche thérapeutique de résilience pour les enfants victimes de sévices ? Dix ans après la métaphore « Tchernobyl », cet article étudie, dans le même registre, l’utilisation des contes de fées comme modélisations de nouvelles procédures de résilience par les victimes. SOURCE : revue Thérapie Familiale
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Catégories : Littérature - oeuvres de fiction:Conte
PSYCHOLOGIE:Résilience
THERAPIES:EnfantNote de contenu : acq novembre 202 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20989 ART.NUM 10095 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Population enfants Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, 34,2 Titre : Des héritages familiaux au sentiment d'existence chez l'adolescent suicidant Type de document : texte imprimé Auteurs : Sasha GOLDSZTEIN, Auteur ; Isabelle DURET, Auteur Année de publication : 2013 Importance : 301-315 Note générale : L’étude envisage l’hypothèse selon laquelle l’adolescent qui tente de se suicider revendique, à travers son acte, l’unicité et l’authenticité de son existence. Les entretiens cliniques complétés par des outils d’évaluation systémiques (génogrammes libres et imaginaires), portant sur seize adolescents hospitalisés après une tentative de suicide, ont débouché sur des résultats nuancés. Si pour certains, l’intention de se faire exister semble plus prégnante que l’intention de se donner la mort, pour d’autres il semble plutôt qu’ils attendent de leurs proches une contenance et une reconnaissance de leur droit à être reconnu dans leur différence. Chez tous, le sentiment d’appartenance groupale qui permet la différenciation et confère un sentiment d’existence fait défaut. Il en résulte une difficulté à se sentir inscrits dans leur filiation ou à identifier une place constructive dans leur généalogie. Des pistes thérapeutiques distinctes tenant compte de ces particularités sont proposées. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq novembre 2013 Thérapie Familiale, 34,2. Des héritages familiaux au sentiment d'existence chez l'adolescent suicidant [texte imprimé] / Sasha GOLDSZTEIN, Auteur ; Isabelle DURET, Auteur . - 2013 . - 301-315.
L’étude envisage l’hypothèse selon laquelle l’adolescent qui tente de se suicider revendique, à travers son acte, l’unicité et l’authenticité de son existence. Les entretiens cliniques complétés par des outils d’évaluation systémiques (génogrammes libres et imaginaires), portant sur seize adolescents hospitalisés après une tentative de suicide, ont débouché sur des résultats nuancés. Si pour certains, l’intention de se faire exister semble plus prégnante que l’intention de se donner la mort, pour d’autres il semble plutôt qu’ils attendent de leurs proches une contenance et une reconnaissance de leur droit à être reconnu dans leur différence. Chez tous, le sentiment d’appartenance groupale qui permet la différenciation et confère un sentiment d’existence fait défaut. Il en résulte une difficulté à se sentir inscrits dans leur filiation ou à identifier une place constructive dans leur généalogie. Des pistes thérapeutiques distinctes tenant compte de ces particularités sont proposées.
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq novembre 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21118 ART.NUM 10137 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Population adolescents Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, 9/02 Titre : Pour une suicidologie systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : D. VALLEE, Auteur Année de publication : 1988 Importance : pp. 159-165 Note générale : - Langues : Français (fre) Catégories : SUICIDE:APPROCHE THEORIQUE - ETHIQUE - DEONTOLOGIE Thérapie Familiale, 9/02. Pour une suicidologie systémique [texte imprimé] / D. VALLEE, Auteur . - 1988 . - pp. 159-165.
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Catégories : SUICIDE:APPROCHE THEORIQUE - ETHIQUE - DEONTOLOGIE Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 3440 ART.ALPHA Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Revues Indéterminé avant inventaire Exclu du prêt
Titre de série : Thérapie Familiale, n° 1 Titre : Couples homosexuels et familles homoparentales. Défis, ressources et perspectives pour la thérapie systémique Type de document : texte imprimé Auteurs : Salvatore D'AMORE, Auteur Année de publication : 2013 Importance : 69-84 Note générale : Les couples et les familles avec partenaires et parents LGBT (lesbiens, gays, bisexuels, transgenres) sont souvent passés sous silence dans l’approche systémique. Ce silence trouve ses racines dans l’hétérocentrisme qui a influencé la définition de couple, de famille et de relations familiales ainsi que de leur « normalité » vs « pathologie ». Qu’on soit chercheur ou clinicien, il est intéressant de prendre en considération l’impact de l’homophobie, de l’hétérosexisme, de l’hétéronormativité dans la vie quotidienne de ces couples, de ces familles et de leurs enfants. En particulier dans la consultation clinique, il semble important d’en évaluer leur degré de stress, d’ambiguïté relationnelle, d’homonégativité intériorisée ainsi que de support social. Nous réfléchirons aussi sur les atouts et les limites des modèles majeurs de thérapie de couple et de famille dans le travail thérapeutique ainsi que sur la nécessité d’envisager des pistes dans la formation du futur thérapeute sur les questions LGBT. Formation qui pourrait être basée sur le modèle de la diversité comme modèle inclusif des différences familiales et relationnelles contemporaines. Langues : Français (fre) Catégories : DEQ discrimination Thérapie Familiale, n° 1. Couples homosexuels et familles homoparentales. Défis, ressources et perspectives pour la thérapie systémique [texte imprimé] / Salvatore D'AMORE, Auteur . - 2013 . - 69-84.
Les couples et les familles avec partenaires et parents LGBT (lesbiens, gays, bisexuels, transgenres) sont souvent passés sous silence dans l’approche systémique. Ce silence trouve ses racines dans l’hétérocentrisme qui a influencé la définition de couple, de famille et de relations familiales ainsi que de leur « normalité » vs « pathologie ». Qu’on soit chercheur ou clinicien, il est intéressant de prendre en considération l’impact de l’homophobie, de l’hétérosexisme, de l’hétéronormativité dans la vie quotidienne de ces couples, de ces familles et de leurs enfants. En particulier dans la consultation clinique, il semble important d’en évaluer leur degré de stress, d’ambiguïté relationnelle, d’homonégativité intériorisée ainsi que de support social. Nous réfléchirons aussi sur les atouts et les limites des modèles majeurs de thérapie de couple et de famille dans le travail thérapeutique ainsi que sur la nécessité d’envisager des pistes dans la formation du futur thérapeute sur les questions LGBT. Formation qui pourrait être basée sur le modèle de la diversité comme modèle inclusif des différences familiales et relationnelles contemporaines.
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Catégories : DEQ discrimination Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21541 ART.NUM 10226 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, n°1, vol. 34 Titre : "On ne peut pas communiquer parce que tu es tous les soirs dans TA bulle". L'image de la bulle : évaluation de la pertinence d'une redéfinition mataphorique du symptôme Type de document : texte imprimé Auteurs : Nathalie DURIEZ, Auteur Année de publication : 2013 Importance : pp 101 - 114 Note générale : La redéfinition métaphorique du symptôme est une technique courante en thérapie familiale. L’addiction, la dépression, le refuge dans le travail ou derrière l’ordinateur, peuvent être recadrés comme un repli sur soi dans une bulle qui isole l’individu des autres, le protégeant ainsi de toute interaction indésirable. Nous avons étudié l’utilisation de cette métaphore à partir des entretiens retranscrits de douze thérapies avec un patient ayant des conduites addictives. Les résultats nous montrent que cette métaphore de la bulle amène les consultants à évoquer le sentiment d’abandon, de perte qu’ils ressentent vis-à-vis de celui qui s’enferme dans une bulle. Ils se mettent alors à créer leur propre bulle pour mieux supporter cette détérioration des relations dans la vie quotidienne. Cette question de la perte ambiguë (Boss, 1999) fait rapidement émerger celle d’un deuil non élaboré, ce qui va permettre de travailler avec une approche circulaire en croisant l’axe diachronique et l’axe synchronique pour mieux cerner comment la perte organise les relations familiales. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq novembre 2013 Thérapie Familiale, n°1, vol. 34. "On ne peut pas communiquer parce que tu es tous les soirs dans TA bulle". L'image de la bulle : évaluation de la pertinence d'une redéfinition mataphorique du symptôme [texte imprimé] / Nathalie DURIEZ, Auteur . - 2013 . - pp 101 - 114.
La redéfinition métaphorique du symptôme est une technique courante en thérapie familiale. L’addiction, la dépression, le refuge dans le travail ou derrière l’ordinateur, peuvent être recadrés comme un repli sur soi dans une bulle qui isole l’individu des autres, le protégeant ainsi de toute interaction indésirable. Nous avons étudié l’utilisation de cette métaphore à partir des entretiens retranscrits de douze thérapies avec un patient ayant des conduites addictives. Les résultats nous montrent que cette métaphore de la bulle amène les consultants à évoquer le sentiment d’abandon, de perte qu’ils ressentent vis-à-vis de celui qui s’enferme dans une bulle. Ils se mettent alors à créer leur propre bulle pour mieux supporter cette détérioration des relations dans la vie quotidienne. Cette question de la perte ambiguë (Boss, 1999) fait rapidement émerger celle d’un deuil non élaboré, ce qui va permettre de travailler avec une approche circulaire en croisant l’axe diachronique et l’axe synchronique pour mieux cerner comment la perte organise les relations familiales.
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Note de contenu : acq novembre 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21124 ART.NUM 10140 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, n° 2, vol. 31 Titre : Vers une approche intégrative et multi-systémique de l'adolescent suicidant et de sa famille Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexandre HAR, Auteur ; Danièle ROCHE-RABREAU, Auteur Année de publication : 2010 Importance : p 133-149 Note générale : L'intention est de proposer puis de questionner la pertinence d’une approche intégrative et multi-systémique de l’hospitalisation de crise de l’adolescent suicidant et de sa famille. Nous décrivons étape par étape l’intervention de crise auprès de l’adolescent suicidant et de sa famille en soulignant quelles sont les actions des processus thérapeutiques mis en oeuvre. Langues : Français (fre) Thérapie Familiale, n° 2, vol. 31. Vers une approche intégrative et multi-systémique de l'adolescent suicidant et de sa famille [texte imprimé] / Alexandre HAR, Auteur ; Danièle ROCHE-RABREAU, Auteur . - 2010 . - p 133-149.
L'intention est de proposer puis de questionner la pertinence d’une approche intégrative et multi-systémique de l’hospitalisation de crise de l’adolescent suicidant et de sa famille. Nous décrivons étape par étape l’intervention de crise auprès de l’adolescent suicidant et de sa famille en soulignant quelles sont les actions des processus thérapeutiques mis en oeuvre.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21445 ART.NUM 10204 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Population adolescents Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, n° 4 Titre : Le suicidant, sa famille et son médecin Type de document : texte imprimé Auteurs : Norberto MORENO-DAVILA, Auteur Année de publication : 2010 Importance : pp 439-450 Note générale : Dans une lignée systémique, nous avons à nous demander quelle représentation du suicide ont les suicidants par rapport à l’acte lui-même et par rapport à l’impact que ces mêmes actes ont sur leur famille. D’autre part, il convient de nous interroger sur les représentations que chaque membre de la famille peut construire de l’acte suicidaire lui-même, du sens qu’il revêt pour le jeune et les proches. Notre expérience de psychiatres dans un hôpital général nous amène à nous questionner aussi sur les représentations de cet acte chez les professionnels qui offrent des soins aigus somatiques et qui luttent pour la vie lorsque les patients eux ont opté pour la mort. Ce geste nous envoie un signal fort de perte d’espoir et d’absence de perspectives futures chez les suicidants. Il nous renvoie aussi à la question de la mort chez les médecins formés à lutter pour la vie. L’acte suicidaire est un geste violent qui renvoie aux soignants un sentiment d’impuissance et pour lequel ils se sentent démunis. Nous aborderons dans une première partie l’attitude adoptée dans le service de psychiatrie de liaison à Lausanne. Nous exposerons ensuite quelques pistes de réflexion sur la prise en charge des suicidants dans un effort de compréhension systémique. Une responsabilité majeure éthique et humaine nous incombe. SOURCE : revue thérapie familiale Langues : Français (fre) Catégories : PSYCHOLOGIE:SYSTEMIQUE
TENTATIVE
RELATION D'AIDE:Milieu familialThérapie Familiale, n° 4. Le suicidant, sa famille et son médecin [texte imprimé] / Norberto MORENO-DAVILA, Auteur . - 2010 . - pp 439-450.
Dans une lignée systémique, nous avons à nous demander quelle représentation du suicide ont les suicidants par rapport à l’acte lui-même et par rapport à l’impact que ces mêmes actes ont sur leur famille. D’autre part, il convient de nous interroger sur les représentations que chaque membre de la famille peut construire de l’acte suicidaire lui-même, du sens qu’il revêt pour le jeune et les proches. Notre expérience de psychiatres dans un hôpital général nous amène à nous questionner aussi sur les représentations de cet acte chez les professionnels qui offrent des soins aigus somatiques et qui luttent pour la vie lorsque les patients eux ont opté pour la mort. Ce geste nous envoie un signal fort de perte d’espoir et d’absence de perspectives futures chez les suicidants. Il nous renvoie aussi à la question de la mort chez les médecins formés à lutter pour la vie. L’acte suicidaire est un geste violent qui renvoie aux soignants un sentiment d’impuissance et pour lequel ils se sentent démunis. Nous aborderons dans une première partie l’attitude adoptée dans le service de psychiatrie de liaison à Lausanne. Nous exposerons ensuite quelques pistes de réflexion sur la prise en charge des suicidants dans un effort de compréhension systémique. Une responsabilité majeure éthique et humaine nous incombe. SOURCE : revue thérapie familiale
Langues : Français (fre)
Catégories : PSYCHOLOGIE:SYSTEMIQUE
TENTATIVE
RELATION D'AIDE:Milieu familialExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20866 ART.NUM 10066 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Prévention, généralités Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, v.9 / 3 Titre : Expression des émotions dans la famille (l') : de l' humeur à l' ambiance familiale Type de document : texte imprimé Auteurs : Etienne DESSOY, Auteur Année de publication : 1988 Importance : pp. 247-259 Note générale : - Langues : Français (fre) Catégories : SUICIDE:CAUSE:milieu familial - couple
DIVERSThérapie Familiale, v.9 / 3. Expression des émotions dans la famille (l') : de l' humeur à l' ambiance familiale [texte imprimé] / Etienne DESSOY, Auteur . - 1988 . - pp. 247-259.
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Langues : Français (fre)
Catégories : SUICIDE:CAUSE:milieu familial - couple
DIVERSExemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 11500 ART.ALPHA Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Revues Indéterminé avant inventaire Exclu du prêt
Titre de série : Thérapie Familiale, vol.23, n° 3 Titre : Pouvait-on sauver Van Gogh ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique BARDOU, Auteur Année de publication : 2002 Importance : 207-226 Note générale : Le 29 Juillet 1890, à 1h30 du matin, s’éteint dans l’anonymat un peintre hollandais de 37 ans, qui signait ses œuvres de son prénom, Vincent. Deux jours plus tôt, il s’était tiré un coup de feu dans la poitrine, visant le cœur. Déjà, le 24 décembre 1888, il s’était tranché le lobe de l’oreille. Le médecin appelé à son chevet, peintre lui-même, ami des impressionnistes et de Vincent, ne pourra rien pour ce dernier. C’est impuissant qu’il assiste à son agonie. Ces deux protagonistes sont, bien entendu, Vincent Van Gogh d’une part, et le Docteur Paul-Ferdinand Gachet, d’autre part. L’auteur de cet article s’est glissé dans la peau du médecin d’Auvers-sur-Oise, comme lors d’un jeu de rôle. On suit ainsi pas à pas le Docteur Gachet, rédigeant son journal imaginaire, réfléchissant à sa pratique thérapeutique, à son ressenti, à ses hypothèses, à ses stratégies, illustrant la démarche et le processus systémiques. L’auteur a ainsi tenté de relire, de façon systémique et humoristique, l’histoire de Van Gogh. Pouvait-on le sauver?... SOURCE : revue Langues : Français (fre) Catégories : THERAPIES:Psychothérapie systémique Note de contenu : acq janvier 2002 Thérapie Familiale, vol.23, n° 3. Pouvait-on sauver Van Gogh ? [texte imprimé] / Dominique BARDOU, Auteur . - 2002 . - 207-226.
Le 29 Juillet 1890, à 1h30 du matin, s’éteint dans l’anonymat un peintre hollandais de 37 ans, qui signait ses œuvres de son prénom, Vincent. Deux jours plus tôt, il s’était tiré un coup de feu dans la poitrine, visant le cœur. Déjà, le 24 décembre 1888, il s’était tranché le lobe de l’oreille. Le médecin appelé à son chevet, peintre lui-même, ami des impressionnistes et de Vincent, ne pourra rien pour ce dernier. C’est impuissant qu’il assiste à son agonie. Ces deux protagonistes sont, bien entendu, Vincent Van Gogh d’une part, et le Docteur Paul-Ferdinand Gachet, d’autre part. L’auteur de cet article s’est glissé dans la peau du médecin d’Auvers-sur-Oise, comme lors d’un jeu de rôle. On suit ainsi pas à pas le Docteur Gachet, rédigeant son journal imaginaire, réfléchissant à sa pratique thérapeutique, à son ressenti, à ses hypothèses, à ses stratégies, illustrant la démarche et le processus systémiques. L’auteur a ainsi tenté de relire, de façon systémique et humoristique, l’histoire de Van Gogh. Pouvait-on le sauver?... SOURCE : revue
Langues : Français (fre)
Catégories : THERAPIES:Psychothérapie systémique Note de contenu : acq janvier 2002 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21025 ART.NUM 10109 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, vol.23, n° 3 Titre : Prendre en charge des victimes de harcèlement moral Type de document : texte imprimé Auteurs : Manuelle Von STRACHWITZ, Auteur Année de publication : 2002 Importance : 251-268 Note générale : Le terme de harcèlement moral est connu du grand public français depuis la publication du livre du même titre par Marie-France Hirigoyen en 1998. Sous-titré « La violence perverse au quotidien », cet ouvrage insiste sur la possibilité du « meurtre psychique » commis par une personne, le harceleur, sur une autre, la victime. La relation duelle qui les relie est mise en exergue. Dans les pays germaniques et scandinaves, ce phénomène est désigné depuis le début des années 1990 par le mot mobbing. Dérivé du terme mob (la plèbe), le mobbing existait déjà, notamment dans des textes juridiques anglais et écossais, pour décrire des mouvements de foule répréhensibles et menaçants, avec une connotation de jugement social envers ceux qui les commettent et qui, à l’origine, se révoltaient contre l’autorité. Ces deux termes, harcèlement et mobbing, évoquent des situations légèrement différentes. Le harcèlement moral français peut être rapproché du harcèlement sexuel, de nombreuses publications insistent sur la confrontation entre un « pervers narcissique » et sa victime. La relation duelle entre agresseur et victime est centrale, même s’il peut y avoir plusieurs victimes. Le mobbing permet de prendre en compte la notion de groupe, à l’intérieur duquel les rôles peuvent être différenciés, agresseur, complice tacite ou actif. Dans cet article, nous nous référons à la définition du mobbing telle qu’elle a été proposée par Leymann (cf. annexe 2). SOURCE : revue Langues : Français (fre) Catégories : PSYCHOPATHOLOGIE - PSYCHIATRIE:harcèlement moral - cyberharcèlement (internet)
DEQ travailNote de contenu : acq janvier 2013 Thérapie Familiale, vol.23, n° 3. Prendre en charge des victimes de harcèlement moral [texte imprimé] / Manuelle Von STRACHWITZ, Auteur . - 2002 . - 251-268.
Le terme de harcèlement moral est connu du grand public français depuis la publication du livre du même titre par Marie-France Hirigoyen en 1998. Sous-titré « La violence perverse au quotidien », cet ouvrage insiste sur la possibilité du « meurtre psychique » commis par une personne, le harceleur, sur une autre, la victime. La relation duelle qui les relie est mise en exergue. Dans les pays germaniques et scandinaves, ce phénomène est désigné depuis le début des années 1990 par le mot mobbing. Dérivé du terme mob (la plèbe), le mobbing existait déjà, notamment dans des textes juridiques anglais et écossais, pour décrire des mouvements de foule répréhensibles et menaçants, avec une connotation de jugement social envers ceux qui les commettent et qui, à l’origine, se révoltaient contre l’autorité. Ces deux termes, harcèlement et mobbing, évoquent des situations légèrement différentes. Le harcèlement moral français peut être rapproché du harcèlement sexuel, de nombreuses publications insistent sur la confrontation entre un « pervers narcissique » et sa victime. La relation duelle entre agresseur et victime est centrale, même s’il peut y avoir plusieurs victimes. Le mobbing permet de prendre en compte la notion de groupe, à l’intérieur duquel les rôles peuvent être différenciés, agresseur, complice tacite ou actif. Dans cet article, nous nous référons à la définition du mobbing telle qu’elle a été proposée par Leymann (cf. annexe 2). SOURCE : revue
Langues : Français (fre)
Catégories : PSYCHOPATHOLOGIE - PSYCHIATRIE:harcèlement moral - cyberharcèlement (internet)
DEQ travailNote de contenu : acq janvier 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21029 ART.NUM 10111 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible
Titre de série : Thérapie Familiale, vol. 23, n° 4 Titre : Prise en charge de crise et enveloppe langagière Type de document : texte imprimé Auteurs : Laure ZELTNER, Auteur Année de publication : 2002 Importance : 357-366 Note générale : Nous avons une expérience clinique de prise en charge de situation de crise incluant d’emblée l’entourage sur l’unité ERIC, Equipe Rapide d’Intervention et de Crise. Il s’agit d’une unité mobile d’urgence et de post-urgence psychiatrique, rattachée à l’hôpital Charcot à Plaisir, fonctionnant 24 h sur 24,7 jours sur 7. Nous avons été étonnée de voir comment des familles débordées par l’angoisse, la confusion, exprimant avec désarroi des sentiments tels que la colère, l’impuissance, le découragement dans le moment de la crise pouvaient retrouver un apaisement et une vitalité contenante lors des 48 premières heures de nos interventions quand bien même la crise elle-même perdurait. Au regard de cette expérience clinique nous posons l’hypothèse que toute situation de crise a un potentiel traumatique pour la famille qui la vit. Nous allons tenter de décrire en quoi la structure elle-même d’ERIC est une réponse adaptée au regard du risque traumatique de la crise, en dehors de la description des autres fonctionnalités d’ERIC. SOURCE : revue
Langues : Français (fre) Note de contenu : acq janvier 2013 Thérapie Familiale, vol. 23, n° 4. Prise en charge de crise et enveloppe langagière [texte imprimé] / Laure ZELTNER, Auteur . - 2002 . - 357-366.
Nous avons une expérience clinique de prise en charge de situation de crise incluant d’emblée l’entourage sur l’unité ERIC, Equipe Rapide d’Intervention et de Crise. Il s’agit d’une unité mobile d’urgence et de post-urgence psychiatrique, rattachée à l’hôpital Charcot à Plaisir, fonctionnant 24 h sur 24,7 jours sur 7. Nous avons été étonnée de voir comment des familles débordées par l’angoisse, la confusion, exprimant avec désarroi des sentiments tels que la colère, l’impuissance, le découragement dans le moment de la crise pouvaient retrouver un apaisement et une vitalité contenante lors des 48 premières heures de nos interventions quand bien même la crise elle-même perdurait. Au regard de cette expérience clinique nous posons l’hypothèse que toute situation de crise a un potentiel traumatique pour la famille qui la vit. Nous allons tenter de décrire en quoi la structure elle-même d’ERIC est une réponse adaptée au regard du risque traumatique de la crise, en dehors de la description des autres fonctionnalités d’ERIC. SOURCE : revue
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq janvier 2013 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21028 ART.NUM 10110 Texte imprimé Etagères de la bibliothèque Prévention, généralités Inventorié Disponible
