Titre : |
Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés |
Type de document : |
document projeté ou vidéo |
Auteurs : |
Sophie BRUNEAU, Auteur ; Marc-antoine ROUDIL, Auteur |
Editeur : |
ADR productions |
Année de publication : |
2005 |
Autre Editeur : |
ALTER EGO FILMS |
Importance : |
76 Min. |
Note générale : |
Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail. Ouvrière à la chaîne, directeur d'agence, aide-soignante, gérante de magasin... Tour à tour, quatre personnes racontent leur souffrance au travail dans le cadre d'un entretien unique. Les trois professionnels spécialisés écoutent et établissent peu à peu la relation entre la souffrance individuelle du patient et les nouvelles formes d'organisation du travail. A travers l'intimité, l'intensité et la vérité de tous ces drames ordinaires pris sur le vif, le film témoigne de la banalisation du mal dans le monde du travail. Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés est un huis clos cinématographique où prend corps et sens une réalité invisible et silencieuse : la souffrance au travail.
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Langues : |
Français (fre) |
Catégories : |
PSYCHOLOGIE:TRAVAIL PSYCHOPATHOLOGIE - PSYCHIATRIE:harcèlement moral - cyberharcèlement (internet) DEQ travail
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Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés [document projeté ou vidéo] / Sophie BRUNEAU, Auteur ; Marc-antoine ROUDIL, Auteur . - [S.l.] : ADR productions : [S.l.] : ALTER EGO FILMS, 2005 . - 76 Min. Chaque semaine, dans trois hôpitaux publics de la région parisienne, une psychologue et deux médecins reçoivent des hommes et des femmes malades de leur travail. Ouvrière à la chaîne, directeur d'agence, aide-soignante, gérante de magasin... Tour à tour, quatre personnes racontent leur souffrance au travail dans le cadre d'un entretien unique. Les trois professionnels spécialisés écoutent et établissent peu à peu la relation entre la souffrance individuelle du patient et les nouvelles formes d'organisation du travail. A travers l'intimité, l'intensité et la vérité de tous ces drames ordinaires pris sur le vif, le film témoigne de la banalisation du mal dans le monde du travail. Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés est un huis clos cinématographique où prend corps et sens une réalité invisible et silencieuse : la souffrance au travail.
Langues : Français ( fre) |