| Titre de série : |
Thérapie Familiale, vol.23, n° 3 |
| Titre : |
Prendre en charge des victimes de harcèlement moral |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Manuelle Von STRACHWITZ, Auteur |
| Année de publication : |
2002 |
| Importance : |
251-268 |
| Note générale : |
Le terme de harcèlement moral est connu du grand public français depuis la publication du livre du même titre par Marie-France Hirigoyen en 1998. Sous-titré « La violence perverse au quotidien », cet ouvrage insiste sur la possibilité du « meurtre psychique » commis par une personne, le harceleur, sur une autre, la victime. La relation duelle qui les relie est mise en exergue. Dans les pays germaniques et scandinaves, ce phénomène est désigné depuis le début des années 1990 par le mot mobbing. Dérivé du terme mob (la plèbe), le mobbing existait déjà, notamment dans des textes juridiques anglais et écossais, pour décrire des mouvements de foule répréhensibles et menaçants, avec une connotation de jugement social envers ceux qui les commettent et qui, à l’origine, se révoltaient contre l’autorité. Ces deux termes, harcèlement et mobbing, évoquent des situations légèrement différentes. Le harcèlement moral français peut être rapproché du harcèlement sexuel, de nombreuses publications insistent sur la confrontation entre un « pervers narcissique » et sa victime. La relation duelle entre agresseur et victime est centrale, même s’il peut y avoir plusieurs victimes. Le mobbing permet de prendre en compte la notion de groupe, à l’intérieur duquel les rôles peuvent être différenciés, agresseur, complice tacite ou actif. Dans cet article, nous nous référons à la définition du mobbing telle qu’elle a été proposée par Leymann (cf. annexe 2). SOURCE : revue |
| Langues : |
Français (fre) |
| Catégories : |
PSYCHOPATHOLOGIE - PSYCHIATRIE:harcèlement moral - cyberharcèlement (internet)
DEQ travail
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| Note de contenu : |
acq janvier 2013 |
Thérapie Familiale, vol.23, n° 3. Prendre en charge des victimes de harcèlement moral [texte imprimé] / Manuelle Von STRACHWITZ, Auteur . - 2002 . - 251-268. Le terme de harcèlement moral est connu du grand public français depuis la publication du livre du même titre par Marie-France Hirigoyen en 1998. Sous-titré « La violence perverse au quotidien », cet ouvrage insiste sur la possibilité du « meurtre psychique » commis par une personne, le harceleur, sur une autre, la victime. La relation duelle qui les relie est mise en exergue. Dans les pays germaniques et scandinaves, ce phénomène est désigné depuis le début des années 1990 par le mot mobbing. Dérivé du terme mob (la plèbe), le mobbing existait déjà, notamment dans des textes juridiques anglais et écossais, pour décrire des mouvements de foule répréhensibles et menaçants, avec une connotation de jugement social envers ceux qui les commettent et qui, à l’origine, se révoltaient contre l’autorité. Ces deux termes, harcèlement et mobbing, évoquent des situations légèrement différentes. Le harcèlement moral français peut être rapproché du harcèlement sexuel, de nombreuses publications insistent sur la confrontation entre un « pervers narcissique » et sa victime. La relation duelle entre agresseur et victime est centrale, même s’il peut y avoir plusieurs victimes. Le mobbing permet de prendre en compte la notion de groupe, à l’intérieur duquel les rôles peuvent être différenciés, agresseur, complice tacite ou actif. Dans cet article, nous nous référons à la définition du mobbing telle qu’elle a été proposée par Leymann (cf. annexe 2). SOURCE : revue Langues : Français ( fre) |
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