Titre de série : |
Bulletin de Psychologie, 528 |
Titre : |
Fantôme, traces et trauma. De la douleur du deuil à l'expression d'un trauma encrypté |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christine CONDAMIN, Auteur ; Coralie DIERE, Auteur |
Année de publication : |
2013 |
Importance : |
489-497 |
Note générale : |
En prenant l’exemple d’une première rencontre avec une fillette de huit ans, les auteurs montrent comment l’expression graphique et narrative peut être analysée selon les processus propres au rêve, en rapport avec le mouvement associatif, suscité lors de la relation transférentielle et comment celle-ci suscite aussi diverses associations, comme autant de jalons qui ont marqué son histoire ; certains deuils, traumas précoces et/ou transgénérationnels peuvent même, parfois, être allégués et revécus. Ce travail avec le dessin peut offrir, comme scène de l’inconscient, les conditions nécessaires à l’expression de traumas et d’angoisses jusqu’alors indicibles, impensables ou encryptés, et même de désirs jusque là occultés. Une première séance laisse parfois augurer d’un travail possible de restauration, de valorisation narcissique et de subjectivation, qui pourra s’effectuer au long des séances qui vont suivre. |
Langues : |
Français (fre) |
Note de contenu : |
acq février 2015 |
Bulletin de Psychologie, 528. Fantôme, traces et trauma. De la douleur du deuil à l'expression d'un trauma encrypté [texte imprimé] / Christine CONDAMIN, Auteur ; Coralie DIERE, Auteur . - 2013 . - 489-497. En prenant l’exemple d’une première rencontre avec une fillette de huit ans, les auteurs montrent comment l’expression graphique et narrative peut être analysée selon les processus propres au rêve, en rapport avec le mouvement associatif, suscité lors de la relation transférentielle et comment celle-ci suscite aussi diverses associations, comme autant de jalons qui ont marqué son histoire ; certains deuils, traumas précoces et/ou transgénérationnels peuvent même, parfois, être allégués et revécus. Ce travail avec le dessin peut offrir, comme scène de l’inconscient, les conditions nécessaires à l’expression de traumas et d’angoisses jusqu’alors indicibles, impensables ou encryptés, et même de désirs jusque là occultés. Une première séance laisse parfois augurer d’un travail possible de restauration, de valorisation narcissique et de subjectivation, qui pourra s’effectuer au long des séances qui vont suivre. Langues : Français ( fre)
Note de contenu : |
acq février 2015 |
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