| Titre de série : |
Thérapie Familiale, vol. 23, n° 4 |
| Titre : |
Prise en charge de crise et enveloppe langagière |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Laure ZELTNER, Auteur |
| Année de publication : |
2002 |
| Importance : |
357-366 |
| Note générale : |
Nous avons une expérience clinique de prise en charge de situation de crise incluant d’emblée l’entourage sur l’unité ERIC, Equipe Rapide d’Intervention et de Crise. Il s’agit d’une unité mobile d’urgence et de post-urgence psychiatrique, rattachée à l’hôpital Charcot à Plaisir, fonctionnant 24 h sur 24,7 jours sur 7. Nous avons été étonnée de voir comment des familles débordées par l’angoisse, la confusion, exprimant avec désarroi des sentiments tels que la colère, l’impuissance, le découragement dans le moment de la crise pouvaient retrouver un apaisement et une vitalité contenante lors des 48 premières heures de nos interventions quand bien même la crise elle-même perdurait. Au regard de cette expérience clinique nous posons l’hypothèse que toute situation de crise a un potentiel traumatique pour la famille qui la vit. Nous allons tenter de décrire en quoi la structure elle-même d’ERIC est une réponse adaptée au regard du risque traumatique de la crise, en dehors de la description des autres fonctionnalités d’ERIC. SOURCE : revue
|
| Langues : |
Français (fre) |
| Note de contenu : |
acq janvier 2013 |
Thérapie Familiale, vol. 23, n° 4. Prise en charge de crise et enveloppe langagière [texte imprimé] / Laure ZELTNER, Auteur . - 2002 . - 357-366. Nous avons une expérience clinique de prise en charge de situation de crise incluant d’emblée l’entourage sur l’unité ERIC, Equipe Rapide d’Intervention et de Crise. Il s’agit d’une unité mobile d’urgence et de post-urgence psychiatrique, rattachée à l’hôpital Charcot à Plaisir, fonctionnant 24 h sur 24,7 jours sur 7. Nous avons été étonnée de voir comment des familles débordées par l’angoisse, la confusion, exprimant avec désarroi des sentiments tels que la colère, l’impuissance, le découragement dans le moment de la crise pouvaient retrouver un apaisement et une vitalité contenante lors des 48 premières heures de nos interventions quand bien même la crise elle-même perdurait. Au regard de cette expérience clinique nous posons l’hypothèse que toute situation de crise a un potentiel traumatique pour la famille qui la vit. Nous allons tenter de décrire en quoi la structure elle-même d’ERIC est une réponse adaptée au regard du risque traumatique de la crise, en dehors de la description des autres fonctionnalités d’ERIC. SOURCE : revue
Langues : Français ( fre)
| Note de contenu : |
acq janvier 2013 |
|
Ajouter le résultat dans votre panier Affiner la rechercheInformation Psychiatrique, 4, 94. Crise suicidaire, trauma, intervention de crise : quels aménagements proposer ? / Laure ZELTNER
