Bibliothèque du Centre de Prévention du Suicide
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La métaphysique / Peter VAN INWAGEN
Titre : La métaphysique Type de document : texte imprimé Auteurs : Peter VAN INWAGEN, Auteur Editeur : ithaque Année de publication : 2017 Importance : 384 p Note générale : Avons-nous une volonté libre ? Est-il vrai que « le temps passe » ? Y a-t-il des choses dans le monde qui ne sont pas matérielles ? L’identité personnelle n’est-elle qu’une fiction administrative ? Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? L’existence des êtres humains est-elle le fruit du hasard ? La vérité est-elle objective ? Autant de questions qui sont reprises avec une grande originalité par Peter van Inwagen dans cet ouvrage d’introduction à la métaphysique. L’auteur tente d’y apporter des réponses argumentées, en prenant la défense d’un corpus de croyances fondamentales que nous adoptons tous spontanément à propos du réel : la « métaphysique occidentale ordinaire ». S’il nous semble par exemple évident qu’il existe un monde d’objets matériels hors de notre esprit, ou que nous restons bien la même personne tout au long de notre vie, encore nous faut-il examiner les raisons philosophiques qui permettent de fonder de telles croyances. D’où l’intérêt de cet essai, qui propose des justifications rationnelles à notre vision ordinaire du monde dans un style sobre, rigoureux, et néanmoins accessible à tous. Langues : Français (fre) La métaphysique [texte imprimé] / Peter VAN INWAGEN, Auteur . - [S.l.] : ithaque, 2017 . - 384 p.
Avons-nous une volonté libre ? Est-il vrai que « le temps passe » ? Y a-t-il des choses dans le monde qui ne sont pas matérielles ? L’identité personnelle n’est-elle qu’une fiction administrative ? Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? L’existence des êtres humains est-elle le fruit du hasard ? La vérité est-elle objective ? Autant de questions qui sont reprises avec une grande originalité par Peter van Inwagen dans cet ouvrage d’introduction à la métaphysique. L’auteur tente d’y apporter des réponses argumentées, en prenant la défense d’un corpus de croyances fondamentales que nous adoptons tous spontanément à propos du réel : la « métaphysique occidentale ordinaire ». S’il nous semble par exemple évident qu’il existe un monde d’objets matériels hors de notre esprit, ou que nous restons bien la même personne tout au long de notre vie, encore nous faut-il examiner les raisons philosophiques qui permettent de fonder de telles croyances. D’où l’intérêt de cet essai, qui propose des justifications rationnelles à notre vision ordinaire du monde dans un style sobre, rigoureux, et néanmoins accessible à tous.
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21602 CRI VAN Livre Etagères de la bibliothèque Critiques, débat, idées, philosophie Inventorié Disponible De la mort volontaire au suicide au travail. Histoire et anthropologie de la dépression au Japon / Junko KITANAKA
Titre : De la mort volontaire au suicide au travail. Histoire et anthropologie de la dépression au Japon Type de document : texte imprimé Auteurs : Junko KITANAKA, Auteur Editeur : ithaque Année de publication : 2014 Importance : 309 p Note générale : Si le suicide lié aux conditions de travail est devenu un véritable sujet d’inquiétude dans tous les pays développés, c’est par centaines qu’ils se produisent chaque année au Japon, et les graves dépressions procédant des mêmes causes se comptent par dizaines de milliers. Leur retentissement là-bas est énorme, car ces dépressions et ces suicides mettent à mal l’incarnation du travailleur-modèle: l’homme consciencieux, totalement dévoué à son entreprise, est submergé par des tâches écrasantes et un surcroît phénoménal d’heures supplémentaires. Dans ce contexte, le diagnostic de «dépression», associé à l’idée de «risque suicidaire», a été universellement adopté par les médecins, les autorités, les malades eux-mêmes et le grand public, pour nommer et exprimer un mal-être collectif qui est allé en s’aggravant avec la crise économique de ces vingt-cinq dernières années. Et c’est tout à fait étonnant. Car, longtemps, les Japonais ont farouchement résisté à l’intrusion des psychiatres dans leur quotidien, au point qu’on estimait nulles les chances de succès des antidépresseurs au Japon dans les années 1980! La dépression était une affection occidentale, prétendument inconnue dans l’archipel. Aussi, comment la tristesse ordinaire, le surmenage des travailleurs, le mal-être caché des femmes, et pour finir cet acte si emblématique de la culture japonaise, le suicide comme «mort volontaire», ont-ils été progressivement médicalisés? L’auteure dresse ici un portrait intérieur du Japon et expose une thèse aux conséquences notables: il serait tout simplement faux que la mondialisation soit un processus aussi uniforme qu’implacable. Au contraire, Junko Kitanaka met en lumière la vigueur des appropriations locales de cette mondialisation qu’on croit toute-puissante. Elle montre les ressources paradoxales, voire subversives, que les individus peuvent y puiser – et les tensions inédites qui apparaissent alors.
Langues : Français (fre) Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
DEQ travailNote de contenu : acq aout 2014 De la mort volontaire au suicide au travail. Histoire et anthropologie de la dépression au Japon [texte imprimé] / Junko KITANAKA, Auteur . - [S.l.] : ithaque, 2014 . - 309 p.
Si le suicide lié aux conditions de travail est devenu un véritable sujet d’inquiétude dans tous les pays développés, c’est par centaines qu’ils se produisent chaque année au Japon, et les graves dépressions procédant des mêmes causes se comptent par dizaines de milliers. Leur retentissement là-bas est énorme, car ces dépressions et ces suicides mettent à mal l’incarnation du travailleur-modèle: l’homme consciencieux, totalement dévoué à son entreprise, est submergé par des tâches écrasantes et un surcroît phénoménal d’heures supplémentaires. Dans ce contexte, le diagnostic de «dépression», associé à l’idée de «risque suicidaire», a été universellement adopté par les médecins, les autorités, les malades eux-mêmes et le grand public, pour nommer et exprimer un mal-être collectif qui est allé en s’aggravant avec la crise économique de ces vingt-cinq dernières années. Et c’est tout à fait étonnant. Car, longtemps, les Japonais ont farouchement résisté à l’intrusion des psychiatres dans leur quotidien, au point qu’on estimait nulles les chances de succès des antidépresseurs au Japon dans les années 1980! La dépression était une affection occidentale, prétendument inconnue dans l’archipel. Aussi, comment la tristesse ordinaire, le surmenage des travailleurs, le mal-être caché des femmes, et pour finir cet acte si emblématique de la culture japonaise, le suicide comme «mort volontaire», ont-ils été progressivement médicalisés? L’auteure dresse ici un portrait intérieur du Japon et expose une thèse aux conséquences notables: il serait tout simplement faux que la mondialisation soit un processus aussi uniforme qu’implacable. Au contraire, Junko Kitanaka met en lumière la vigueur des appropriations locales de cette mondialisation qu’on croit toute-puissante. Elle montre les ressources paradoxales, voire subversives, que les individus peuvent y puiser – et les tensions inédites qui apparaissent alors.
Langues : Français (fre)
Catégories : SOCIOLOGIE :TRAVAIL
DEQ travailNote de contenu : acq aout 2014 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21191 CES KIT Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible Penser sa propre mort. Contribution psychanalytique au problème de la caducité de la vie / Franco DE MASI
Titre : Penser sa propre mort. Contribution psychanalytique au problème de la caducité de la vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Franco DE MASI, Auteur Editeur : ithaque Année de publication : 2010 Importance : 157 p Note générale : L’homme est cet être mortel qui, précisément, a la perception de la limite de l'existence. Nous pouvons craindre ou pressentir la mort d’un proche bien avant qu’elle n’ait lieu – nous savons que nous aurons à affronter le vide qui s’en suivra. Mais se préparer au vide qui se rapporte à nous-mêmes ne va pas de soi. Lorsque nous nous demandons comment nous saisissons notre propre mort, nous nous confrontons aux limites de notre pensée. Mais, alors, si notre mort n’est pas pensable, qu’entendons-nous par « peur de la mort » ? Qu’est-ce que cette chose que nous nous représentons comme la « mort » ? Par quoi sommes-nous tourmentés ? Comment, du point de vue psychanalytique, conceptualiser la perception qu’a l’être humain de sa propre mort ? Et de quelle façon la théorie psychanalytique rend-elle compte de la mort ? Bien que la littérature psychanalytique ait exploré la douleur liée aux séparations et aux pertes, jamais elle n’avait traité aussi en profondeur le désarroi que nous éprouvons face à la pensée de notre propre mort. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq janvier 2014 Penser sa propre mort. Contribution psychanalytique au problème de la caducité de la vie [texte imprimé] / Franco DE MASI, Auteur . - [S.l.] : ithaque, 2010 . - 157 p.
L’homme est cet être mortel qui, précisément, a la perception de la limite de l'existence. Nous pouvons craindre ou pressentir la mort d’un proche bien avant qu’elle n’ait lieu – nous savons que nous aurons à affronter le vide qui s’en suivra. Mais se préparer au vide qui se rapporte à nous-mêmes ne va pas de soi. Lorsque nous nous demandons comment nous saisissons notre propre mort, nous nous confrontons aux limites de notre pensée. Mais, alors, si notre mort n’est pas pensable, qu’entendons-nous par « peur de la mort » ? Qu’est-ce que cette chose que nous nous représentons comme la « mort » ? Par quoi sommes-nous tourmentés ? Comment, du point de vue psychanalytique, conceptualiser la perception qu’a l’être humain de sa propre mort ? Et de quelle façon la théorie psychanalytique rend-elle compte de la mort ? Bien que la littérature psychanalytique ait exploré la douleur liée aux séparations et aux pertes, jamais elle n’avait traité aussi en profondeur le désarroi que nous éprouvons face à la pensée de notre propre mort.
Langues : Français (fre)
Note de contenu : acq janvier 2014 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21138 PSY DEM Livre Etagères de la bibliothèque Mort, euthanasie, deuil Inventorié Disponible Psychanalyse et vie covidienne. Détresse collective, expérience individuelle / Ana DE STAAL
Titre : Psychanalyse et vie covidienne. Détresse collective, expérience individuelle Type de document : texte imprimé Auteurs : Ana DE STAAL, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Howard B. LEVINE, Directeur de publication, rédacteur en chef Editeur : ithaque Année de publication : 2021 Importance : 281 p Note générale : Réunissant une quinzaine de contributions de psychanalystes de nombreux pays et différents courants, « Psychanalyse et vie covidienne » propose une première approche de la façon dont la pandémie de Covid-19 pourrait infléchir la pratique psychanalytique. Des changements imposés au cadre (séances en ligne), jusqu’à la prise en compte du trauma de l’isolement et du bouleversement de notre l’ancrage social (exigé par le confinement et les gestes de protection sanitaire), en passant par l’ébranlement de notre déni «ordinaire» de la mortalité («cela n’arrive qu’aux autres»), ce livre explore ce que la pandémie peut nous apprendre sur la façon de comprendre et de traiter individuellement la détresse collective. Il met nos outils psychanalytiques à l’épreuve des profonds changements psychosociaux et environnementaux que le XXIe siècle nous réserve. Langues : Français (fre) Psychanalyse et vie covidienne. Détresse collective, expérience individuelle [texte imprimé] / Ana DE STAAL, Directeur de publication, rédacteur en chef ; Howard B. LEVINE, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : ithaque, 2021 . - 281 p.
Réunissant une quinzaine de contributions de psychanalystes de nombreux pays et différents courants, « Psychanalyse et vie covidienne » propose une première approche de la façon dont la pandémie de Covid-19 pourrait infléchir la pratique psychanalytique. Des changements imposés au cadre (séances en ligne), jusqu’à la prise en compte du trauma de l’isolement et du bouleversement de notre l’ancrage social (exigé par le confinement et les gestes de protection sanitaire), en passant par l’ébranlement de notre déni «ordinaire» de la mortalité («cela n’arrive qu’aux autres»), ce livre explore ce que la pandémie peut nous apprendre sur la façon de comprendre et de traiter individuellement la détresse collective. Il met nos outils psychanalytiques à l’épreuve des profonds changements psychosociaux et environnementaux que le XXIe siècle nous réserve.
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21822 PSY DES Livre Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible