Bibliothèque du Centre de Prévention du Suicide
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Bêtes et hommes / Vinciane DESPRET
Titre : Bêtes et hommes Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane DESPRET, Auteur Editeur : Gallimard Année de publication : 2007 Importance : 157 p Note générale : Les animaux ont bien changé. Bien sûr on pourrait penser que ce sont nos façons de les voir qui changent. Ce qui voudrait dire qu'il n'y a que nous qui changeons : nous serions les seuls à avoir une histoire, les animaux n'y seraient que les figurants. Or, une autre version semble aujourd'hui pouvoir compliquer cette manière de raconter, une version qui suggère que les animaux changent comme nous et parfois avec nous. Selon qu'elles sont protégées ou chassées, les loutres peuvent être diurnes ou nocturnes. Selon qu'ils entretiennent ou non des relations de paix avec les humains, les corbeaux sont anthropophiles ou très sauvages. Le chien peut se transformer en une sorte de jouet à ressort dans l'expérience de Pavlov ou devenir le compagnon le plus inventif dans une relation qui fait le pari de son intelligence. Selon les situations qu'on leur propose, voire les questions qu'on leur adresse, les animaux pourront ou non déployer certaines compétences. De même qu'ils pourront ou non obtenir que l'on prenne en compte ce qui importe pour eux. Ces situations dans lesquelles humains et animaux entrent en relation sont multiples. Elles vont des pratiques des éleveurs à celles des scientifiques, du vivre ensemble avec les animaux familiers aux difficultés de cohabitation avec les espèces protégées. Chacune d'elles décline des interrogations, des exigences et des difficultés particulières. Mais une question commune les traverse : avec qui voulons-nous vivre et comment ? Les illustrations de ce livre, œuvres de plasticiens, photographes et vidéastes, témoignent des multiples manières qu'ont les artistes contemporains d'entrer en relation avec les animaux. SOURCE : http://www.gallimard.fr/ Langues : Français (fre) Catégories : PSYCHOLOGIE:Ethologie animale Bêtes et hommes [texte imprimé] / Vinciane DESPRET, Auteur . - [S.l.] : Gallimard, 2007 . - 157 p.
Les animaux ont bien changé. Bien sûr on pourrait penser que ce sont nos façons de les voir qui changent. Ce qui voudrait dire qu'il n'y a que nous qui changeons : nous serions les seuls à avoir une histoire, les animaux n'y seraient que les figurants. Or, une autre version semble aujourd'hui pouvoir compliquer cette manière de raconter, une version qui suggère que les animaux changent comme nous et parfois avec nous. Selon qu'elles sont protégées ou chassées, les loutres peuvent être diurnes ou nocturnes. Selon qu'ils entretiennent ou non des relations de paix avec les humains, les corbeaux sont anthropophiles ou très sauvages. Le chien peut se transformer en une sorte de jouet à ressort dans l'expérience de Pavlov ou devenir le compagnon le plus inventif dans une relation qui fait le pari de son intelligence. Selon les situations qu'on leur propose, voire les questions qu'on leur adresse, les animaux pourront ou non déployer certaines compétences. De même qu'ils pourront ou non obtenir que l'on prenne en compte ce qui importe pour eux. Ces situations dans lesquelles humains et animaux entrent en relation sont multiples. Elles vont des pratiques des éleveurs à celles des scientifiques, du vivre ensemble avec les animaux familiers aux difficultés de cohabitation avec les espèces protégées. Chacune d'elles décline des interrogations, des exigences et des difficultés particulières. Mais une question commune les traverse : avec qui voulons-nous vivre et comment ? Les illustrations de ce livre, œuvres de plasticiens, photographes et vidéastes, témoignent des multiples manières qu'ont les artistes contemporains d'entrer en relation avec les animaux. SOURCE : http://www.gallimard.fr/
Langues : Français (fre)
Catégories : PSYCHOLOGIE:Ethologie animale Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20647 PSY DES Livre Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible Au bonheur des morts. Récits de ceux qui restent / Vinciane DESPRET
Titre : Au bonheur des morts. Récits de ceux qui restent Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane DESPRET, Auteur Editeur : La Découverte Année de publication : 2015 Collection : Les empêcheurs de penser en rond Importance : 222 p Note générale : « Faire son deuil », c’est l’impératif qui s’impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d’un proche. Mais se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s’il ne veut pas trop souffrir ? Vinciane Despret a commencé par écouter. « Je disais : je mène une enquête sur la manière dont les morts entrent dans la vie des vivants ; je travaille sur l’inventivité des morts et des vivants dans leurs relations. » Une histoire en a amené une autre. « J’ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu’elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil. À l’anniversaire de son épouse défunte, un de mes proches prépare le plat qu’elle préférait, etc. » L’auteure s’est laissé instruire par les manières d’être qu’explorent les morts et les vivants, ensemble ; elle a appris de la façon dont les vivants qu’elle a croisés se rendent capables d’accueillir la présence des défunts. Chemin faisant, elle montre comment échapper au dilemme entre « cela relève de l’imagination » et « c’est tout simplement vrai et réel ». Depuis un certain temps les morts s’étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd’hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts deviennent plus actifs. Ils réclament, proposent leur aide, soutiennent ou consolent… Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux ! Langues : Français (fre) Note de contenu : acq octobre 2015 Au bonheur des morts. Récits de ceux qui restent [texte imprimé] / Vinciane DESPRET, Auteur . - [S.l.] : La Découverte, 2015 . - 222 p. - (Les empêcheurs de penser en rond) .
« Faire son deuil », c’est l’impératif qui s’impose à tous ceux qui se trouvent confrontés au décès d’un proche. Mais se débarrasser de ses morts est-il un idéal indépassable auquel nul ne saurait échapper s’il ne veut pas trop souffrir ? Vinciane Despret a commencé par écouter. « Je disais : je mène une enquête sur la manière dont les morts entrent dans la vie des vivants ; je travaille sur l’inventivité des morts et des vivants dans leurs relations. » Une histoire en a amené une autre. « J’ai une amie qui porte les chaussures de sa grand-mère afin qu’elle continue à arpenter le monde. Une autre est partie gravir une des montagnes les plus hautes avec les cendres de son père pour partager avec lui les plus beaux levers de soleil. À l’anniversaire de son épouse défunte, un de mes proches prépare le plat qu’elle préférait, etc. » L’auteure s’est laissé instruire par les manières d’être qu’explorent les morts et les vivants, ensemble ; elle a appris de la façon dont les vivants qu’elle a croisés se rendent capables d’accueillir la présence des défunts. Chemin faisant, elle montre comment échapper au dilemme entre « cela relève de l’imagination » et « c’est tout simplement vrai et réel ». Depuis un certain temps les morts s’étaient faits discrets, perdant toute visibilité. Aujourd’hui, il se pourrait que les choses changent et que les morts deviennent plus actifs. Ils réclament, proposent leur aide, soutiennent ou consolent… Ils le font avec tendresse, souvent avec humour. On dit trop rarement à quel point certains morts peuvent nous rendre heureux !
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Note de contenu : acq octobre 2015 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21340 MOR DES Livre Etagères de la bibliothèque Mort, euthanasie, deuil Inventorié Sorti jusqu'au 22/04/2024 Ces émotions qui nous fabriquent. Ethnopsychologie de l'authenticité / Vinciane DESPRET
Titre : Ces émotions qui nous fabriquent. Ethnopsychologie de l'authenticité Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane DESPRET, Auteur Editeur : Paris : Les empêcheurs de penser en rond Année de publication : 2001 Importance : 359 p Note générale : Nos émotions, comme la peur ou la colère, sont-elles naturelles, authentiques et universelles ? C’est ce qu’ont cru les expérimentateurs dans les laboratoires de physiologie et de psychologie, inventant des dispositifs scientifiques pour les étudier, les contrôler, les mesurer. Mais la tâche s’est révélée difficile : les émotions n’existent pas en soi, mais uniquement dans la relation à autrui, au monde. Les émotions sont des productions humaines, un savoir-vivre. On n’a plus alors à s’étonner que les émotions rencontrées dans d’autres traditions soient différentes, que la colère n’existe pas chez les Uktus, que les Ifaluks doivent enseigner la peur à leurs enfants. Nos émotions sont finalement autant de versions du monde et de manière de l’habiter. C’est ce qu’explorent les ethnopsychologues. SOURCE : http://www.empecheursdepenserenrond.fr/ Langues : Français (fre) Catégories : Ethnologie - anthropologie Ces émotions qui nous fabriquent. Ethnopsychologie de l'authenticité [texte imprimé] / Vinciane DESPRET, Auteur . - Paris : Les empêcheurs de penser en rond, 2001 . - 359 p.
Nos émotions, comme la peur ou la colère, sont-elles naturelles, authentiques et universelles ? C’est ce qu’ont cru les expérimentateurs dans les laboratoires de physiologie et de psychologie, inventant des dispositifs scientifiques pour les étudier, les contrôler, les mesurer. Mais la tâche s’est révélée difficile : les émotions n’existent pas en soi, mais uniquement dans la relation à autrui, au monde. Les émotions sont des productions humaines, un savoir-vivre. On n’a plus alors à s’étonner que les émotions rencontrées dans d’autres traditions soient différentes, que la colère n’existe pas chez les Uktus, que les Ifaluks doivent enseigner la peur à leurs enfants. Nos émotions sont finalement autant de versions du monde et de manière de l’habiter. C’est ce qu’explorent les ethnopsychologues. SOURCE : http://www.empecheursdepenserenrond.fr/
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Catégories : Ethnologie - anthropologie Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20643 CES DES Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible La dépression est-elle universelle ? / Catherine LUTZ
Titre : La dépression est-elle universelle ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Catherine LUTZ, Auteur ; Vinciane DESPRET, Préfacier, etc. Editeur : Empêcheurs P. R. Année de publication : 2004 Importance : 121 Note générale : Une des premières tâches de l'étude anthropologique de la dépression fut d'apprécier la mesure dans laquelle le vécu émotionnel de peuples de cultures différentes est plus ou moins proche du nôtre. De ce point de vue, une des prémisses la mieux partagée postule que c'est dans ses émotions que l'espèce humaine serait la plus homogène, la plus immuable. Les émotions seraient des faits naturels, pré-culturels... Mais, selon Catherine Lutz, l'opposition entre " émotion " et " cognition " n'a de sens qu'au sein du système culturel euro-américain dans lequel elle a été développée. Le concept de dépression serait donc une catégorie culturelle spécifiquement occidentale.
Langues : Français (fre) Catégories : SUICIDE:CAUSE:dépression La dépression est-elle universelle ? [texte imprimé] / Catherine LUTZ, Auteur ; Vinciane DESPRET, Préfacier, etc. . - [S.l.] : Empêcheurs P. R., 2004 . - 121.
Une des premières tâches de l'étude anthropologique de la dépression fut d'apprécier la mesure dans laquelle le vécu émotionnel de peuples de cultures différentes est plus ou moins proche du nôtre. De ce point de vue, une des prémisses la mieux partagée postule que c'est dans ses émotions que l'espèce humaine serait la plus homogène, la plus immuable. Les émotions seraient des faits naturels, pré-culturels... Mais, selon Catherine Lutz, l'opposition entre " émotion " et " cognition " n'a de sens qu'au sein du système culturel euro-américain dans lequel elle a été développée. Le concept de dépression serait donc une catégorie culturelle spécifiquement occidentale.
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Catégories : SUICIDE:CAUSE:dépression Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 14011 DEP LUT Livre Etagères de la bibliothèque Dépression Inventorié Disponible La hiérarchie est-elle bien naturelle ? / Vinciane DESPRET in Sciences humaines, 250 (juillet 2013)
[article]
Titre : La hiérarchie est-elle bien naturelle ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane DESPRET, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : 44-47 Note générale : Il y a vingt ans, il allait encore de soi que les loups et les babouins vivaient sous la domination du plus fort. Aujourd’hui, rien n’est moins sûr, et si les hommes, eux, se donnent des chefs, ça n’est pas forcément une loi naturelle. Langues : Français (fre) Note de contenu : acq juillet 2013
in Sciences humaines > 250 (juillet 2013) . - 44-47[article] La hiérarchie est-elle bien naturelle ? [texte imprimé] / Vinciane DESPRET, Auteur . - 2013 . - 44-47.
Il y a vingt ans, il allait encore de soi que les loups et les babouins vivaient sous la domination du plus fort. Aujourd’hui, rien n’est moins sûr, et si les hommes, eux, se donnent des chefs, ça n’est pas forcément une loi naturelle.
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in Sciences humaines > 250 (juillet 2013) . - 44-47
Note de contenu : acq juillet 2013 Les morts à l'oeuvre / Vinciane DESPRET
Titre : Les morts à l'oeuvre Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane DESPRET, Auteur Editeur : Paris : Les empêcheurs de penser en rond Année de publication : 2023 Importance : 165 p Note générale : Les morts peuvent faire agir les vivants, mobiliser ceux qui restent autour de questions qui touchent à la vie collective, à l’érosion des liens sociaux, à des événements qui les dépassent ou dont l’ampleur ou la violence pourrait les détruire, annihiler ce à quoi ils sont attachés. Les morts peuvent aider les vivants à transformer le monde. Dans ce livre, Vinciane Despret nous raconte cinq histoires où des morts proches ou éloignés dans le temps ont obligé les vivants à leur donner une nouvelle place. Ces morts « insistent » parce qu’il y a eu quelque chose d’injuste dans le sort qui a été le leur : victimes de violence, commandos d’Afrique et de Provence, sacrifiés politiques à la raison du plus fort… Ceux qui restent ont décidé de répondre à cette insistance en commandant une œuvre grâce à un protocole politique et artistique nommé le programme des Nouveaux Commanditaires. Ce protocole consiste à choisir un artiste et à décider en commun d’une œuvre. Il va transformer en profondeur les commanditaires. Cela n’a rien à voir avec le deuil dans sa forme autoritaire (quand les théories psychologiques enjoignent à l’oubli). C’est avec la vie, celle qui n’est plus mais qui est encore d’une autre manière, celle qui résiste à son effacement, que ce faire avec provoque une étonnante série de métamorphoses.
Langues : Français (fre) Les morts à l'oeuvre [texte imprimé] / Vinciane DESPRET, Auteur . - Paris : Les empêcheurs de penser en rond, 2023 . - 165 p.
Les morts peuvent faire agir les vivants, mobiliser ceux qui restent autour de questions qui touchent à la vie collective, à l’érosion des liens sociaux, à des événements qui les dépassent ou dont l’ampleur ou la violence pourrait les détruire, annihiler ce à quoi ils sont attachés. Les morts peuvent aider les vivants à transformer le monde. Dans ce livre, Vinciane Despret nous raconte cinq histoires où des morts proches ou éloignés dans le temps ont obligé les vivants à leur donner une nouvelle place. Ces morts « insistent » parce qu’il y a eu quelque chose d’injuste dans le sort qui a été le leur : victimes de violence, commandos d’Afrique et de Provence, sacrifiés politiques à la raison du plus fort… Ceux qui restent ont décidé de répondre à cette insistance en commandant une œuvre grâce à un protocole politique et artistique nommé le programme des Nouveaux Commanditaires. Ce protocole consiste à choisir un artiste et à décider en commun d’une œuvre. Il va transformer en profondeur les commanditaires. Cela n’a rien à voir avec le deuil dans sa forme autoritaire (quand les théories psychologiques enjoignent à l’oubli). C’est avec la vie, celle qui n’est plus mais qui est encore d’une autre manière, celle qui résiste à son effacement, que ce faire avec provoque une étonnante série de métamorphoses.
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Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 21914 MOR DES Livre Etagères de la bibliothèque Mort, euthanasie, deuil Inventorié Disponible Penser comme un rat / Vinciane DESPRET
Titre : Penser comme un rat Type de document : texte imprimé Auteurs : Vinciane DESPRET, Auteur Editeur : Editions Quae Année de publication : 2009 Importance : 93 p Note générale : On a longtemps pensé découvrir les lois de l'apprentissage en soumettant un rat à l'épreuve du labyrinthe. Certes, si on le récompense, le rat « apprend » le parcours. Mais à quelle question le rat répond-il réellement ? Que signifie le labyrinthe pour lui ? Comment interprète-t-il la récompense ?
Pour certains, l'animal répondrait en fait à une autre question que celle qui lui est posée. Selon d'autres, en revanche, les animaux ne « réagissent » pas à ce que nous leur soumettons : ils interprètent une demande et y répondent. Cette réponse traduit leur point de vue sur la situation. C'est à elle qu’il faut s’intéresser. Les scientifiques travaillant sur le bien-être animal suivraient-ils cette voie prometteuse ? Quelles sont les conditions permettant ces changements ? Telles sont les questions que ce livre leur adresse. On y découvre que le fait d’interroger les animaux sur ce qui les rend heureux pourrait inciter les scientifiques à modifier leurs pratiques et admettre que le point de vue de ceux qu’ils étudient constitue en fait le véritable objet de leurs recherches. SOURCE : http://www.quae.comLangues : Français (fre) Penser comme un rat [texte imprimé] / Vinciane DESPRET, Auteur . - [S.l.] : Editions Quae, 2009 . - 93 p.
On a longtemps pensé découvrir les lois de l'apprentissage en soumettant un rat à l'épreuve du labyrinthe. Certes, si on le récompense, le rat « apprend » le parcours. Mais à quelle question le rat répond-il réellement ? Que signifie le labyrinthe pour lui ? Comment interprète-t-il la récompense ?
Pour certains, l'animal répondrait en fait à une autre question que celle qui lui est posée. Selon d'autres, en revanche, les animaux ne « réagissent » pas à ce que nous leur soumettons : ils interprètent une demande et y répondent. Cette réponse traduit leur point de vue sur la situation. C'est à elle qu’il faut s’intéresser. Les scientifiques travaillant sur le bien-être animal suivraient-ils cette voie prometteuse ? Quelles sont les conditions permettant ces changements ? Telles sont les questions que ce livre leur adresse. On y découvre que le fait d’interroger les animaux sur ce qui les rend heureux pourrait inciter les scientifiques à modifier leurs pratiques et admettre que le point de vue de ceux qu’ils étudient constitue en fait le véritable objet de leurs recherches. SOURCE : http://www.quae.com
Langues : Français (fre)Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20644 PSY DES Livre Etagères de la bibliothèque Psychologie, psychanalyse Inventorié Disponible