Titre : |
Vivre quand le corps fout le camp ! |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Christian GALLOPIN, Directeur de publication, rédacteur en chef |
Editeur : |
Erès |
Année de publication : |
2011 |
Importance : |
259 p |
Note générale : |
« Vivre quand le corps fout le camp ! » Voilà une injonction bien difficile pour nos sociétés jeunistes plutôt habituées au déni de la maladie et de la perte. Elle convoque notamment toutes les déclinaisons autour des questions d'euthanasie, de suicide - assisté ou non -, d'obstination médicale déraisonnable. Et au-delà des professionnels des secteurs dits « de la santé », elle interpelle la société tout entière quant au regard porté sur le corps. Notre société prétend-elle encore prendre soin ou simplement prendre en considération des corps meurtris, des corps disloqués, des corps handicapés, des corps tumoraux et/ou maladifs, des corps vieillardisés, des corps empêchés, bref des corps monstrueux aux formes plus ou moins tourmentées... ? Des corps hors la norme ? Hors la norme du beau, du jeune, de l'actif, du rentable, du bling-bling... Des auteurs et écrivains d'horizons différents (philosophie, sociologie, médecine, psychanalyse, littérature, poésie, art...) confrontent ici leurs émotions, leurs expériences, leurs réflexions. Parce que l'image est à ce point difficile à soutenir, l'art et la peinture de Jean Rustin accompagnent les textes. Parce que le langage même se perd à vouloir comprendre, c'est à la poésie de lier et délier nos soubresauts existentiels... Parce que finalement, être, c'est mourir. SOURCE : http://www.editions-eres.com |
Langues : |
Français (fre) |
Vivre quand le corps fout le camp ! [texte imprimé] / Christian GALLOPIN, Directeur de publication, rédacteur en chef . - [S.l.] : Erès, 2011 . - 259 p. « Vivre quand le corps fout le camp ! » Voilà une injonction bien difficile pour nos sociétés jeunistes plutôt habituées au déni de la maladie et de la perte. Elle convoque notamment toutes les déclinaisons autour des questions d'euthanasie, de suicide - assisté ou non -, d'obstination médicale déraisonnable. Et au-delà des professionnels des secteurs dits « de la santé », elle interpelle la société tout entière quant au regard porté sur le corps. Notre société prétend-elle encore prendre soin ou simplement prendre en considération des corps meurtris, des corps disloqués, des corps handicapés, des corps tumoraux et/ou maladifs, des corps vieillardisés, des corps empêchés, bref des corps monstrueux aux formes plus ou moins tourmentées... ? Des corps hors la norme ? Hors la norme du beau, du jeune, de l'actif, du rentable, du bling-bling... Des auteurs et écrivains d'horizons différents (philosophie, sociologie, médecine, psychanalyse, littérature, poésie, art...) confrontent ici leurs émotions, leurs expériences, leurs réflexions. Parce que l'image est à ce point difficile à soutenir, l'art et la peinture de Jean Rustin accompagnent les textes. Parce que le langage même se perd à vouloir comprendre, c'est à la poésie de lier et délier nos soubresauts existentiels... Parce que finalement, être, c'est mourir. SOURCE : http://www.editions-eres.com Langues : Français ( fre) |