Bibliothèque du Centre de Prévention du Suicide
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Auteur Marcel HENAFF |
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Claude Lévi-Strauss et l'anthropologie structurale / Marcel HENAFF
Titre : Claude Lévi-Strauss et l'anthropologie structurale Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcel HENAFF, Auteur Mention d'édition : Première édition : Belfond, 1991 Editeur : Editions Points Année de publication : 2011 Importance : 654 p Note générale : Qu’est-ce qui définit l’ethnologie parmi les autres sciences de l’homme ? Pourquoi la parenté constitue-t-elle une part si importante de son champ d’étude et comment Lévi-Strauss en a-t-il renouvelé l’approche en partant de la question de la prohibition de l’inceste ? Qu’est-ce que le totémisme ? Qu’est-ce qu’un mythe ? Enfin, qu’est-ce qui différencie nos sociétés dites historiques de celles que l’on a longtemps qualifiées de primitives ? On trouvera également ici une présentation critique des principaux ouvrages et articles de Lévi-Strauss (1908-2009), ainsi qu’une bibliographie choisie et mise à jour de ses oeuvres et des études qui lui ont été consacrées. SOURCE : http://www.seuil.com Langues : Français (fre) Catégories : Ethnologie - anthropologie Claude Lévi-Strauss et l'anthropologie structurale [texte imprimé] / Marcel HENAFF, Auteur . - Première édition : Belfond, 1991 . - [S.l.] : Editions Points, 2011 . - 654 p.
Qu’est-ce qui définit l’ethnologie parmi les autres sciences de l’homme ? Pourquoi la parenté constitue-t-elle une part si importante de son champ d’étude et comment Lévi-Strauss en a-t-il renouvelé l’approche en partant de la question de la prohibition de l’inceste ? Qu’est-ce que le totémisme ? Qu’est-ce qu’un mythe ? Enfin, qu’est-ce qui différencie nos sociétés dites historiques de celles que l’on a longtemps qualifiées de primitives ? On trouvera également ici une présentation critique des principaux ouvrages et articles de Lévi-Strauss (1908-2009), ainsi qu’une bibliographie choisie et mise à jour de ses oeuvres et des études qui lui ont été consacrées. SOURCE : http://www.seuil.com
Langues : Français (fre)
Catégories : Ethnologie - anthropologie Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20797 CES HEN Livre Etagères de la bibliothèque Sociologie - Anthropologie Inventorié Disponible Le prix de la vérité. Le don, l'argent, la philosophie / Marcel HENAFF
Titre : Le prix de la vérité. Le don, l'argent, la philosophie Type de document : texte imprimé Auteurs : Marcel HENAFF, Auteur Editeur : Editions du Seuil Année de publication : 2002 Importance : 551 p Note générale : Existe-t-il des biens matériels ou immatériels qui échappent à toute évaluation marchande ? Y a-t-il un rapport entre la vérité - ou plutôt entre la philosophie, cette discipline qui en fait sa question propre - et l'argent ? Peut-on parler d'un prix de la vérité ? Contrairement aux Sophistes qui exigent d'être payés, Socrate parle gratuitement. Il peut cependant accepter des présents qui répondent au don qu'il transmet. Il le faut même, assure Aristote, car le savoir n'est pas mesurable. Mais qu'est-ce donc que donner ? Est-ce offrir quelque chose ? L'enquête anthropologique montre que le problème est ailleurs : donner, c'est reconnaître pour être reconnu. Donner, c'est se donner dans ce que l'on donne. C'est défier pour lier. Mais comment cela s'articule-t-il avec le don fait aux divinités ? Qu'est-ce qui appelle le sacrifice, l'immolation de l'offrande ? S'agit-il d'éteindre une dette ? Pour cela, faut-il un don unilatéral, une grâce ? Qui peut unir souverainement une communauté par une faveur offerte à tous ? On pressent que la relation de don est au cœur du lien social. Le mouvement du don diffère de l'échange marchand. Celui-ci, lié à l'outil monétaire et au modèle du contrat, possède sa nécessité économique, politique et éthique propre dans la cité de la différenciation des tâches. Le don relève d'un autre ordre et affronte cette question : qui est autrui et pourquoi autrui m'oblige-t-il inconditionnellement ? Donner indique que l'exigence ultime est toujours celle-ci : reconnaître et être reconnu selon un impératif de respect. L'argent a le pouvoir de menacer cette exigence et de détruire le lien qui unit les hommes. Il peut corrompre infiniment. Pourquoi ? Répondre à cela, c'est comprendre en quoi le prix - sans prix - de la vérité n'est pas séparable de celui de la dignité. SOURCE : www.seuil.com
Langues : Français (fre) Catégories : PHILOSOPHIE:CRITIQUES-DEBAT-IDEES Le prix de la vérité. Le don, l'argent, la philosophie [texte imprimé] / Marcel HENAFF, Auteur . - [S.l.] : Editions du Seuil, 2002 . - 551 p.
Existe-t-il des biens matériels ou immatériels qui échappent à toute évaluation marchande ? Y a-t-il un rapport entre la vérité - ou plutôt entre la philosophie, cette discipline qui en fait sa question propre - et l'argent ? Peut-on parler d'un prix de la vérité ? Contrairement aux Sophistes qui exigent d'être payés, Socrate parle gratuitement. Il peut cependant accepter des présents qui répondent au don qu'il transmet. Il le faut même, assure Aristote, car le savoir n'est pas mesurable. Mais qu'est-ce donc que donner ? Est-ce offrir quelque chose ? L'enquête anthropologique montre que le problème est ailleurs : donner, c'est reconnaître pour être reconnu. Donner, c'est se donner dans ce que l'on donne. C'est défier pour lier. Mais comment cela s'articule-t-il avec le don fait aux divinités ? Qu'est-ce qui appelle le sacrifice, l'immolation de l'offrande ? S'agit-il d'éteindre une dette ? Pour cela, faut-il un don unilatéral, une grâce ? Qui peut unir souverainement une communauté par une faveur offerte à tous ? On pressent que la relation de don est au cœur du lien social. Le mouvement du don diffère de l'échange marchand. Celui-ci, lié à l'outil monétaire et au modèle du contrat, possède sa nécessité économique, politique et éthique propre dans la cité de la différenciation des tâches. Le don relève d'un autre ordre et affronte cette question : qui est autrui et pourquoi autrui m'oblige-t-il inconditionnellement ? Donner indique que l'exigence ultime est toujours celle-ci : reconnaître et être reconnu selon un impératif de respect. L'argent a le pouvoir de menacer cette exigence et de détruire le lien qui unit les hommes. Il peut corrompre infiniment. Pourquoi ? Répondre à cela, c'est comprendre en quoi le prix - sans prix - de la vérité n'est pas séparable de celui de la dignité. SOURCE : www.seuil.com
Langues : Français (fre)
Catégories : PHILOSOPHIE:CRITIQUES-DEBAT-IDEES Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Statut Disponibilité 20694 CRI HEN Livre Etagères de la bibliothèque Critiques, débat, idées, philosophie Inventorié Disponible