| Titre : | 
					Le monstre dans la vie psychique de l'enfant | 
				 
					| Type de document :  | 
					texte imprimé | 
				 
					| Auteurs :  | 
					Virginie MARTIN-LAVAUD, Auteur ; Pierre DELION, Préfacier, etc. | 
				 
					| Editeur : | 
					Erès | 
				 
					| Collection :  | 
					Psychanalyse et clinique  | 
				 
					| Importance :  | 
					234 p | 
				 
					| Note générale :  | 
					Pourquoi les enfants parlent-ils de monstres ? A partir de situations cliniques, l’auteur interroge les fonctions que le monstre assume dans leur vie psychique. A la différence du loup, de la sorcière, voire de la bête, celui-là ne possède aucune forme préétablie, et pourtant il fait partie des images fréquemment utilisées par les enfants pour évoquer l’inquiétant. Le surgissement du monstre dans la clinique de l’enfant correspond-il à une plainte de ce dernier, à un moment où il vient dire qu'il ne comprend plus, qu'il est inquiet parce qu’il ne maîtrise plus ce qu’il voit ? Ou bien la présence du monstre témoigne-t-elle d’une mise en forme esthétique de la vie fantasmatique ? Lorsque les mots manquent à dire la réalité, le signifiant « monstre » n’est-il pas utilisé pour témoigner de l'étrangeté d’un vécu, pour figurer une radicale différence entre soi et l'autre ? L’expérience clinique de l’auteur suggère que c'est d’abord en tant qu’image vue mais non reconnue que les monstres assument une fonction de dévoilement d’un insu propre à la vie inconsciente. | 
				 
					| Langues : | 
					Français (fre) | 
				 
					| Catégories :  | 
					PSYCHOPATHOLOGIE - PSYCHIATRIE:ENFANT
  | 
				  
 
					Le monstre dans la vie psychique de l'enfant [texte imprimé] /  Virginie MARTIN-LAVAUD, Auteur ;  Pierre DELION, Préfacier, etc. . -  [S.l.] : Erès, [s.d.] . - 234 p. - ( Psychanalyse et clinique) . Pourquoi les enfants parlent-ils de monstres ? A partir de situations cliniques, l’auteur interroge les fonctions que le monstre assume dans leur vie psychique. A la différence du loup, de la sorcière, voire de la bête, celui-là ne possède aucune forme préétablie, et pourtant il fait partie des images fréquemment utilisées par les enfants pour évoquer l’inquiétant. Le surgissement du monstre dans la clinique de l’enfant correspond-il à une plainte de ce dernier, à un moment où il vient dire qu'il ne comprend plus, qu'il est inquiet parce qu’il ne maîtrise plus ce qu’il voit ? Ou bien la présence du monstre témoigne-t-elle d’une mise en forme esthétique de la vie fantasmatique ? Lorsque les mots manquent à dire la réalité, le signifiant « monstre » n’est-il pas utilisé pour témoigner de l'étrangeté d’un vécu, pour figurer une radicale différence entre soi et l'autre ? L’expérience clinique de l’auteur suggère que c'est d’abord en tant qu’image vue mais non reconnue que les monstres assument une fonction de dévoilement d’un insu propre à la vie inconsciente. Langues : Français ( fre)  |